1. Captive d'un soir (2)


    Datte: 21/10/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... table basse de ton salon, je te force à monter dessus et à t’y prosterner, bras étendus devant toi et croupe relevée, tes cuisses bien écartées laissent tes fesses entièrement vulnérables aux futurs assauts du fouet. - Combien ? Je te demande en faisant tournoyer de nouveau le serpent de cuir sur ta peau offerte. Tu hésites, le fait que je te laisse choisir le nombre de coup est un don à double tranchant. D’un côté cela te permet de jauger ta faute, mais tu sais pertinemment que si ce nombre ne me plaît pas, je serai tenté de faire durer la punition et t’infliger beaucoup de souffrances. Tre... Trente, monsieur, balbuties-tu jouant la pauvre apeurée. Décidément tu ne cesses de me surprendre. Je m’attendais à quinze, voire vingt, mais trente coups. Je tombe sous ton charme, tu me fais chavirer par ton courage... Ou ta perversité. ulnuoozq - Très bien, je chuchote avant de caresser une dernière fois ton corps avec mes mains pour te rassurer et te motiver. Un court silence se répand alors dans l’appartement, interrompu par nos respirations respectives et par quelques bruits de voitures passant au bas de la rue. Tu attends, tu tremblotes, tu es nerveuse alors que les secondes défilent et que rien ne se passe. Puis le premier coup tombe, assaillant ta croupe exposée. Tu étouffes un léger gémissement de plaisir, tes cuisses se referment par réflexe. - Merci monsieur, t’écries-tu. Docile, tu écartes de nouveau tes jambes, avant même que j’ai besoin de te l’ordonner. Et tu fais ...
    ... tout pour résister alors que les coups suivants viennent pleuvoir sur ta peau meurtrie. Au sixième coup, tu ne peux plus lutter et pousses un cri de satisfaction. Puis à partir du onzième coup, alors que tes fesses rougissent sous le fouet, tu ne peux t’empêcher de révéler ta vraie nature. - Oh oui, merci monsieur, je l’ai mérité, punissez-moi ! Adieu le rôle de la pauvre esclave suppliante, désormais la vraie soumise se dévoile. Souriant en te voyant profiter de cette séance, je te laisse t’exprimer, cela me motive à continuer. Et pendant que les coups s’enchaînent, tu poursuis tes remerciements, tu te plais dans cette situation. Tu me plais. Nous arrivons rapidement au trentième coup, tu es haletante, tes fesses sont marquées de petites stries qui, je le regrette, viennent dénaturer la perfection de ton corps nu. Si tu m’avais demandé plus, je ne t’aurai pas écouté, ta peau est divine et ne mérite pas d’être pervertie de la sorte. Toujours aussi fidèle à nos règles, tu descends alors de la table basse et viens te prosterner à mes pieds. Entièrement asservie et désormais marquée par les lanières en cuir, tu te mets à embrasser mes jambes, montant puis descendant, en remerciant mon autorité. - Merci monsieur, merci de m’avoir remise dans le droit chemin. Je ne suis rien qu’une esclave bonne à être dressée pour vous servir. Ordonnez, monsieur, et vous serez exaucé, je vous appartiens. Complètement séduit, je m’accroupis et empoigne avec tendresse ton menton, le forçant à se ...