1. Regrets....


    Datte: 21/10/2018, Catégories: Entre-nous, Les hommes,

    ... ceci allait se terminer… Après un bon moment, je lui proposais de remonter se sécher. Arrivés à ma serviette, il la ramassa , me prit la main et m’entraîna vers les petites dunes en bordure de plage. Mon cœur battait la chamade, à la perspective de nos ébats. Je ressentais, comme à chaque fois, une boule au creux du ventre. Il m’allongea sur ma serviette et entreprit de me désensabler du bout de ses doigts. Ses caresses étaient incroyablement légères et douces. Je broyais sa cuisse de ma main. Il parcourait mon visage, mon torse, mon ventre du bout de ses lèvres. Parfois je sentais le bout humide de sa langue qui me chatouillait. Trop trop bon. Je fermais les yeux. Il s’attardait maintenant sur ma bite qu’il caressait de ses joues, jouait avec mes couilles rasées qu’il gobait doucement, me léchais la hampe… J’avais empoigné ses cheveux et appuyais sur sa tête. Il se redressa, se mit à genoux face à moi, approcha sa bite de la mienne, colla les deux, les empoigna et commença à les branler doucement…. Il me souriait, ses yeux verts plantés dans les miens. Je sentais parfaitement bien la peau de sa bite contre la mienne, la caresse et la chaleur de sa main. Nos glands étaient luisants de ...
    ... mouille et de désir tous les deux. Pour ça, il savait branler ! De temps en temps, il se penchait et enfournait nos deux glands dans sa bouche … Wouaaah !! Bientôt, il se mit à me sucer, à me pomper d’une manière somptueuse. Il alternait parfaitement les périodes d’excitation et les périodes plus calmes, faisant monter mon plaisir presque jusqu’à l’explosion. Je sentais la chaleur de sa bouche sur toute la longueur de ma queue. Visiblement, il avait décidé de me faire jouir ainsi mais après m’avoir délicieusement et longuement « torturé »… Cela dura un temps infini et j’aurais voulu que ça ne s’arrête jamais. Il avait augmenté la cadence de son va et vient sur ma tige brûlante. Je me mis à haleter. Encore plus vite ! Je balançais mon bassin en cadence de plus en plus vite, lui baisant la bouche de ma bite; Je sentis une onde de chaleur me parcourir tout le corps et je jouis dans sa bouche. Il ne se retira pas. Je retombais, exténué et sombrai aussitôt dans une douce léthargie. Quand je me réveillais quelques minutes après, il n’y avait plus personne...J’eus beau chercher, appeler...rien! Comment j’avais pu sombrer à ce point pour le laisser échapper ! Je revins chaque matin, je ne le revis jamais…. 
«12»