Marie, la brûlante
Datte: 21/10/2018,
Catégories:
fh,
extracon,
Oral
pénétratio,
fsodo,
portrait,
extraconj,
... une odeur femelle s’en dégage. J’y pose un baiser et m’allonge près d’elle. Elle se réveille, me sourit, m’embrasse. Sa bouche a un goût épais, sensuel. Après quelques baisers, je sens son ventre, son périnée, bouger. Déjà sa vulve se trempe. Elle s’allonge sur moi et s’empale sur ma queue. C’est elle qui me fait l’amour, son clitoris vient s’écraser sur la racine de mon pénis, elle gémit, crie. Ses fesses rondes et fermes s’agitent, je glisse un doigt dans son cul, elle crie de plus belle. Quand ses cris et ses mouvements s’accélérèrent, je comprends que l’orgasme arrive ; elle jouit avec une violence incroyable, elle a une dizaine de spasmes puissants, puis tout son corps se raidit, avant de se détendre dans une grande plainte. Je sens, pendant son plaisir, mon ventre et mon sexe se tremper. Elle reste un moment sur moi, son corps moite de sueur, son souffle court, puis se met à sangloter. — Alain, tu m’as merveilleusement fait jouir ! Je ne sais d’où est venu cet orgasme. De loin, du plus profond de moi, tu as déchaîné un torrent.— En parlant de torrent, tu as beaucoup mouillé.— Oui, j’avais l’impression de pisser, mais c’est autre chose, qui ...
... m’est arrivé rarement, quelques fois avec Pascal. Je te demande pardon, c’est un peu gênant.— Ne t’excuse pas, j’adore. Le lendemain, je suis sur un petit nuage. Fatigué mais heureux, fier de ma conquête. *** Elle passa avec succès ses examens ; nous fêtâmes ça dans un hôtel discret. L’année suivante, elle prépara un concours d’enseignement, échoua, mais le réussit finalement encore un an après. Nous nous retrouvions régulièrement avec plaisir. Marie avait une sensualité étonnante. Elle aimait tout, ne se lassait de rien. Elle prit un poste à mi-temps mais fut nommée loin de chez elle. Elle avait pu bloquer ses cours sur deux jours et dormait une nuit à l’hôtel. Je m’organisais pour passer souvent la nuit avec elle. À présent, elle enseigne dans notre ville. Je regrette nos délicieuses nuits dans la ville de son premier poste. Nous sommes amants depuis longtemps, nous nous voyons peu mais toujours avec la même fougue. Elle prétend que je l’équilibre. Elle pense quitter son mari quand les enfants ne seront plus chez eux. Prétextant que Pierre ronfle, elle a même décidé qu’ils feraient chambre à part. Marie reste une amante d’exception, une femme brûlante.