1. Mamie Geneviève (26)


    Datte: 21/10/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... affaires de mon grand-père avec tous ses carnets de notes et ... le fameux sac de graines. Même mes parents ignoraient tout de cela ! — Mais alors ? Pourquoi nous divulguer cette information à Gilles et à moi ? — Cette plante a de nombreuses vertus. Outre que les feuilles infusées soient à la fois aphrodisiaques et libératrices de l’esprit, le pollen de sa fleur, au contact des muqueuses, par exemple si on le prise par le nez, permet l’ouverture de la conscience sous la forme d’une empathie exacerbée, d’une symbiose avec l’autre. Gilles et toi rayonnez d’un besoin d’amour et de sexe. Il nous a été facile de le voir immédiatement. Ce pollen permet en outre de « visualiser » l’honnêteté de l’autre et presque de deviner ses pensées. — C’est incroyable ce que tu me racontes Michelle ! — As-tu remarqué comme ton gendre est heureux désormais ? As-tu remarqué comme mon mari a bandé immédiatement en te voyant ? As-tu remarqué comme tu as désiré que je te frappe ? Il y avait là tous les effets de cette plante mystérieuse. — J’en suis abasourdie, mais comment s’appelle cette plante ? — C’est absolument imprononçable ! Jacky lui a trouvé comme nom : « l’épice » en référence au romans du cycle de « DUNE » de Franck Herbert [1920-1986]. Le pollen ayant des reflets bleutés. — J’aimerais tant pouvoir en faire pousser chez moi... Michelle ne répond pas et me tend la main pour m’aider à me relever. Geste que j’apprécie, tant je suis fourbue ! Elle ne me lâche pas la main et m’attire à elle ...
    ... pour m’embrasser. Sa langue électrise la mienne et quand elle glisse sa main entre mes jambes, j’ai un orgasme instantané. Je suffoque, mais n’en a cure et continue à m’embrasser en me doigtant d’une manière prodigieuse. Quand elle me relâche, je suis pantelante et Gilles doit me soutenir pour m’éviter de m’écrouler sur le sol. Le couple nous sourit aimablement et nous décidons de prendre congé d’eux, presque à contrecoeur. Arrivés chez ma fille, nous remarquons aux bruits qu’Agnès et son amante Mélanie font, que toutes deux sont en pleine action dans le lit conjugal. Son mari ne semble pas gêné d’entendre ma fille jouir et comme il l’avait convenu, il préfère se coucher près de moi, dans mon lit. Alors que j’éteins la lumière et m’apprête à m’endormir, Gilles me souffle à l’oreille : « Maman, tu ne voudrais pas m’enculer avec tes doigts ? » Gilles m’appelle à nouveau Maman, c’est signe qu’il souhaite fantasmer sur sa vraie mère (voir les épisodes précédents). Je lui réponds : — Si tu me nettoies le cul avec ta langue, je vais t’enculer comme jamais tu le seras — Oh oui maman, laisse-moi te lécher ! Je retire le drap, grimpe à califourchon sur son visage et m’assieds dessus, au point de l’étouffer. La situation semble lui plaire car, tandis que sa langue commence à s’affairer pour nettoyer mon derrière, je note que sa queue se tend au maximum. La tentation de ce sexe raide est forte et je ne peux m’empêcher de m’en saisir pour le branler délicatement, puis me pencher vers ...