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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 735)
Datte: 21/10/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme
... par son image de chienne-soumise et heureuse ce que la glace lui renvoyait. Cette pause lui permit de reposer ses genoux pas encore habitués à être autant sollicités depuis son arrivée au Château du Maître, Le Marquis d'Evans, mais aussi de relâcher un peu sa concentration. Elle tenait toujours la cravache de Marie la cuisinière, mais moins fermement pour soulager un peu ses mâchoires. soumise Mary continua donc à se mirer et onduler de sa croupe rougie qui trahissait une excitation qui montait en elle. Elle ignorait que derrière le miroir deux admirateurs, et de plus est, Dominants, contemplaient le spectacle. D'une part, Le Marquis d'Evans, Le Maître de cette ancestrale demeure, Le Maître à qui elle a choisi d'appartenir corps et âme et de lui obéir avec humilité tout comme d'autres hommes et femmes qui vivent librement leur statut d'esclaves sous ce toit. Et d'autre part son époux Hervé qu'elle continue à aimer malgré son choix d'être soumise. Maintenant que son mari commence à accepter sa nouvelle condition, soumise Mary est persuadée que leur amour en sera plus renforcé et qu'il pourra l'aider à grandir dans la soumission (même si elle ne sait pas trop comment encore). Monsieur Le Marquis Edouard d'Evans et Hervé se régalaient de l'image que leur offrait la belle brune, en les narguant inconsciemment avec ses formes harmonieuses. Tous les deux ressentaient un trouble significatif à la vue de cette femelle si désireuse de vivre sa soumission presque au grand jour et ne ...
... demandait qu'à être aimée. Son regard parlait pour elle. Les deux hommes attendaient avec impatience de voir la suite surtout Hervé dont Le Marquis lui a fait comprendre qu'il n'allait pas être déçu et il sera encore plus convaincu que son épouse-soumise est vraiment heureuse dans sa condition et qu’il est salutaire pour elle, de lui laisser vivre sa vie de soumise autant que sa vie d’épouse ... Tout à coup, la cuisinière perverse retira brusquement la cravache de la bouche de Mary qui eut à peine le temps de réaliser ce qui se passait alors qu'elle sentit aussitôt un coup sec sur chaque rondeur de ses fesses et la fit légèrement gémir et éveilla en même temps une certaine excitation. Instinctivement, sans savoir si c'était la bonne attitude à adopter, elle se mit en levrette, la croupe bien relevée et offerte, la tête sur le côté. Elle vit Marie à côté d'elle et aperçut son pied gauche chaussé d’une cuissarde et elle sentit son autre pied se plaquer sur sa joue et appuyer fermement tout en tirant sur la laisse pour la maintenir dans cette position... Marie lança à la cantonade comme si elle s'exprimait devant un public fictif devant une pièce de théâtre, quoique pas si fictif puisque Le Marquis d'Evans et l'époux de Mary assis dans le bureau, mais aussi Walter étaient témoin - Quelle femelle réactive ! Deux coups de cravache et la voilà déjà descendue sur terre aussi vite que si j'aurais sifflé ma chienne pour qu'elle revienne à mes pieds. Et en plus, tu es encore plus chienne ...