1. L'amour d'un père (14)


    Datte: 22/10/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... le foutre de son fils à coup de langue. — Maman ?! — Hmm, j’aime le gout de ton frère, sur ta rosette en plus... Pousse, pousse, ma chérie, donne-le moi. Je m’exécute, je pousse pour faire sortir le jus de mon cul tandis que ma mère boit tout. Les garçons s’exclament devant l’obscénité de la scène. Ma mère est décidément aussi tordue que moi. Quand elle a fini de faire ma toilette et qu’il n’en reste plus une goute, elle m’invite à l’aider de finir papa en le suçant. — Papa n’a pas encore joui ? dis-je étonné. — Non, répond-t-il. Je tenais à ce qu’on reprenne là où nous avons commencé. Maman et moi nous mettons à genoux devant l’énorme bite de notre géniteur pour le sucer ensemble. Pendant ce temps, Lucas est assis à la table de la cuisine et récupère. Nous lui faisons chacune des gorges profondes, cela le fait râler de plaisir. — Oooh, mes petits anges... Vous prenez si bien soin de moi... Je lui lèche le gland et joue avec ses bourses tandis que maman fais glisser sa langue sur sa tige. Je ne cherche pas à l’exciter ou à simplement lui faire du bien, je veux le faire jouir. J’ai hâte qu’il se vide les couilles et m’envoie son délicieux jus dans la bouche. Je veux le gouter. Je sens qu’il n’en a plus pour très longtemps. Je suis frustrée quand ma mère me chasse pour prendre ma place. Elle le pompe énergiquement en le branlant d’une main. Soudain, je l’entends grogner. Sa queue vibre comme un volcan prêt à entrer en irruption. J’espère que maman se retire pour qu’il nous ...
    ... asperge toutes les deux, au lieu de cela, elle affirme sa prise sur sa bite. Papa pousse à râle tandis que son corps est pris de convulsion. Je suis jalouse, il éjacule dans sa bouche et elle ne m’en laisse rien. J’en voulais moi-aussi ! Il jouit tellement fort que ses lèvres débordent et qu’un filet de sperme coule lentement de son menton. Je le récolte d’un coup de langue comme une affamée qui n’a rien d’autre à se mettre sous la dent. Maman aspire tout son jus jusqu’à ce qu’il arrête de trembler. Il est aux anges, moi, je suis en colère : — Maman ! Ce n’est pas juste ! Je voulais du sperme moi aussi ! Tu as tout avalé ! Je te déteste ! Ses lèvres s’éloignent enfin de la bite de papa. Elle se tourne vers moi en me faisant un sourire la bouche toujours fermée. Elle s’approche pour venir m’embrasser ; malgré que je sois fâchée, je le lui rends. C’est quand je veux lui mettre la langue que je m’aperçois qu’elle avait tout gardé. Elle me donne une partie du foutre comme un animal nourrissant son petit. Nous partageons le gout délicieux de notre papa commun en même temps que notre salive. Lorsque notre baiser prend fin, j’avale ma part et elle fait de même. Je suis trop heureuse, je ne lui en veux plus. Papa et Lucas nous regarde d’un air médusé. Il nous en reste un peu au coin de la bouche. — Nous avons été de bonnes petites filles, mon papa chéri ? lui dis-je. — Oh oui, répond-il. Je suis fier de vous. Voilà le genre de scène qui arrive quotidiennement dans un recoin de la maison. ...
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