La restauratrice de clystères en étain
Datte: 22/10/2018,
Catégories:
fh,
inconnu,
magasin,
collection,
hsoumis,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
lavement,
init,
... de partout. J’ai même la sensation qu’elle remonte jusqu’à ma gorge. — Voilà… c’est fini ! déclare Pierrette, maintenant il faut essayer de serrer les fesses et garder le plus longtemps possible ce lavement… En prononçant ses paroles, elle retire délicatement le clystère de mon anus et l’eau chaude semble prendre la place du bec d’étain qui vient de quitter mon corps. Je n’ose bouger ni presque respirer tant j’ai peur de me répandre là, avant d’atteindre la cuvette des toilettes. Pourtant, je suis toujours à moitié couché sur la table d’examen et tente de me redresser. Mon ventre, légèrement ballonné, pèse une tonne – enfin, il me semble peser une tonne – mais j’arrive lentement à remonter le buste, en m’appuyant sur les bras puis, en soufflant doucement, je finis par retrouver une stature presque normale. Avec beaucoup de précaution, j’entame un mouvement giratoire pour pouvoir poser mon auguste fessier sur l’acier froid et tente de trouver une respiration qui me permette de contrôler mes muscles. Du coin de l’œil, Pierrette m’examine toujours attentivement. — Alors ? Comment vous sentez-vous ?— Heu… J’ai connu de meilleurs moments… mais pour l’instant, en dehors d’affreux gargouillis, ça va…— Bien… Et, sans plus attendre, dans un bruit de chocs métalliques, Pierrette pose le clystère derrière moi, s’approche de mes jambes, s’accroupit et, d’une main ferme et râpeuse, elle s’empare de mon sexe dressé, et commence à le masturber. Cette caresse, je l’attendais, je la ...
... sollicitais, je l’espérais mais en même temps je la redoutais. Serai-je assez fort pour ne pas l’interrompre précipitamment ? Seule l’expérience pouvait me fixer sur mes limites et mes capacités de résistance. Et je décide donc de me laisser faire. …………. Sa main calleuse fait montre d’une dextérité toute particulière. Elle est douce, attentionnée mais en même temps ferme et rude. Elle monte et descend le long de ma hampe dressée, tirant sur la peau presque jusqu’à me faire mal, dans un mouvement de va-et-vient tantôt lent, tantôt rapide. Sous ses doigts, je sens mon sexe durcir encore et encore, prêt à exploser. J’ai l’impression d’avoir une barre d’acier. Puis, sans crier gare, Pierrette approche sa bouche et me happe…. Le contact de ses lèvres me fait d’abord sursauter. Mon ventre se contracte un peu plus et je sens les liquides qui le garnissent de plus en plus prêts à refouler. Pourtant la caresse que Pierrette est en train de m’octroyer est merveilleuse. Sa bouche, grande ouverte autour de mon sexe, forme un anneau qui s’élargit ou se rétrécit selon qu’elle m’absorbe ou rejette sa tête en arrière, suivant un rythme bien à elle. Sa langue dessine des petits zigzags sur le bout de mon pénis. De temps en temps, elle le sort complètement de cet étui chaud et humide et s’évertue à descendre avec le bout de sa langue sur toute sa longueur, jusqu’à mes bourses, qu’elle lèche affectueusement, tentant de les avaler au passage. Et si une de ses mains tient alors ma verge, l’autre part en ...