1. Oui ou Non 4


    Datte: 20/06/2017, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    La voix redevient plus ferme : - Marco, nous avons dit « un baiser d’adieu » Pas dans le cou…Oh, pas mes seins ! - Oui, un baiser, mais j’ai précisé « un vrai baiser ». Un baiser complet, sur les lèvres, sur les yeux, les oreilles, dans le cou, dans la nuque. Mes mains sont sur tes seins pour te garder contre moi. Reviens en face de moi au lieu d’essayer de vouloir ne me donner qu’un bisou. Ta bouche… ouvre. – Tu exagères. Une fois encore, j’aime mon mari. Il ne faut pas… je n’ai pas le droit de le trahir. Marco, laisse-moi respirer. Non pas ça, ôte ta main… non ! – Oh ! Cesse de faire comme si tu n’aimais pas. Ta culotte est trempée, c’est la preuve de ton envie. Laisse parler ton cœur et surtout obéis aux ordres de tes sens. Tu es faites pour l’amour. Mon doigt dans ton vagin nage comme un poisson dans l’eau. Ca ne trompe pas le connaisseur que je suis. – Non, aie pitié de moi, ne profite pas de la faiblesse de mes sens. Respecte ma volonté de me garder pour Jean. Je l’aime depuis si longtemps. – Trop longtemps, cela se mesure à la cyprine qui noie ma main. Ge que tu aimes, en réalité, c’est l’amour et non untel ou un autre. Tiens, sens ton jus d’amour puisé à la source. C’est fort, parfumé, caractéristique, personnel ; ça pue le désir et les tremblements de tout ton corps en sont des témoins infaillibles. Bouge sur mes doigts et embrasse-moi encore … Mais, oui, c’est mieux, ne te raidis pas. Tu crois m’échapper en glissant à terre sur les genoux. Tricheuse, notre baiser ...
    ... commence à peine. Je veux en garder un souvenir sans fin. – Pourquoi me pousses-tu ? Je ne peux plus reculer mes mollets sont contre le bois de lit. Non, arrête, je vais tomber … Ahh ! 0h, Marco, ce n’est pas bien. Marco, pas ça, s’il te plaît. Oh ! pitié, il ne faut pas. – Il ne fallait pas me convoquer. De quoi te plaindras-tu encore ? Tu ne risques plus de tomber, tu es couchée sur le dos, bien à plat sur ton matelas. Ciel, des jarretelles, une culotte de dentelle fine : tu avais tout préparé pour me recevoir avec les honneurs et tu voudrais te dégonfler à la dernière minute. Tu n’es pas la première qui est prise d’un doute au moment de passer à l’acte. Mais je sais écarter ces troubles, ces légères hésitations. Tiens - Marco, que fais-tu, sois raisonnable. - Qui serait raisonnable à ma place. Je suis placé entre deux cuisses magnifiques, mon doigt écarte la dentelle et met au jour la plus belle chatte du monde. Comment ne pas l’embrasser à pleine bouche ? -Oh ! Tu es fou, non, c’est trop fort, il ne faudrait pas, que dirait Jean s’il savait. Oh : - Il faudrait qu’il puisse savoir, mais il ne saura rien si tu ne lui racontes pas à quel point c’est bon. Parce que, c’est bon, oui ou non ? - Tu crois ? Oui, c’est bon, mais, je t’en prie, lâche-moi, ne m’excite pas davantage… Oh… Oh… Hum ? Mon Dieu que c’est fort. Tu ne diras rien à mon mari, jure-le. Quel virage soudain. Elle ne demande plus l’arrêt des caresses, elle se contentera du silence de l’acteur. Autrement dit, elle se ...
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