Oh meu Paulo !!
Datte: 25/10/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
... rehaussé d’une fine ceinture orangée qui laisse parfaitement deviner ses formes. Je porterai le même en jaune citron. De temps à autre, il me prend en photo avec son smartphone. J’en fais autant avec l’appareil numérique. Ca me fera des souvenirs pour quand il sera parti… A un moment, il va ainsi sur le balcon. Je lui crie que, soit il va déclencher une émeute, soit il va attraper une pneumonie. Il me fait signe de venir le rejoindre. En bas, dans le petit parc de l’autre côté de la rue, deux jeunes homos s’embrassent sur un banc. Paulo les siffle, leur fait un signe amical de la main et m’enserre la taille. C’est tout Paulo, ça. Son exubérance sud américaine ! Ils nous font un signe de la main. Plusieurs fois, au cours de la journée, il viendra me câliner, se lover contre moi dans le canapé, me caresser. A la forme de sa bite, je vois bien qu’il remettrait ça volontiers. Paulo a toujours eu un très gros appétit pour la baise. Je le laisse faire comme il le sent…Parfois ça pousse un peu plus loin, caresses appuyées, léchouilles, mains ...
... glissées sous les slips. Mais ça n’ira pas plus loin. On dirait que la nuit l’a rassasié. Dans l’après midi, il me demanda si je pouvais lui arranger un peu sa toison. Je n’avais rien contre, bien au contraire. Il m’indiqua ce qu’il aimerait, à savoir raccourcir l’arc de cercle de poils autour de sa bite, couper les poils comme pour une barbe de trois jours et ajouter quelques stries sans poils, à ma guise. Tondeuse, rasoir mécanique, mousse à raser, tout y passe. Il adore se faire tripoter à cet endroit là. Y’a qu’à voir l’état de sa bite pour s’en persuader. Il me demanda même de lui raser de près sa raie. Je le charriais en lui demandant qui lui faisait ça habituellement. Je le prévenais aussi de ne surtout pas bouger, sinon couic ! Le résultat lui parut trop beau. D’ailleurs, j’en fis une photo. En gros plan. La fin d’après midi arriva très vite. Le soir, il devait déjà repartir. Je n’eus pas le courage de l’accompagner à l’aéroport. Je passais une bonne heure à pleurer, le nez dans l’oreiller. A ressentir le vide immense de son absence.