1. La pétanque


    Datte: 25/10/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... ma fente et sa langue s'insinua entre mes lèvres, s'enfonçant, explorant mon orifice vaginal. Il la remuait avec beaucoup d'agilité me tirant de petits cris de plaisir. Son majeur titillait mon petit gland rose, puis il le descendit lentement remplacer sa langue. Il l'entra le plus profondément possible, et lui adjoignant l'index commença de savants va et vient tandis que son pouce me massait doucement le clitoris. Je me tortillais dans tous les sens, je haletais. Il me fit subir cette caresse, alternant doigté et coups de langue pendant un temps qui me parut interminable, mais j'en redemandais, je sentais le plaisir m'embraser le ventre. Je n'allais pas tarder à jouir. Mes deux amants s'étaient approchés, ils restaient cois devant le plaisir que Guy tirait de mon corps. Au sortir d'un profond doigté, je sentis ses deux doigts glisser vers mon anus, il cracha dessus et les enfila délicatement, son pouce vint les remplacer dans mon vagin et il commença des va-et-vient de plus en plus rapides. A ce rythme, le plaisir croissait, je me dis que je n'allais pas tarder à exploser. Je le repoussais, doucement... c'était trop tôt pour jouir ! Je dégrafais le bouton qui fermait ma jupette, l'écartais et la laissais tomber. Puis le regardant en souriant, avec des yeux de velours, je dénouais les nœuds des bretelles de mon tee-shirt. ...
    ... Lentement, je dénudais un sein, puis l'autre... Seule la respiration saccadée de Guy et le cri des cigales trouaient le silence. Je quittais mon débardeur mauve, je n'étais plus vêtue que de mon porte-jarretelles noir, de mes bas et mes talons aiguilles, mes mamelons brun foncé étaient tendus au maximum, de la chair de poule pigraillait mes aréoles. Je mis les mains sous mes deux globes fermes et durs et lui les présentais en offrande. « Tu veux bien sucer et mordiller mes tétons... regarde, ils le réclament à corps et à cris... Allez … s'il te plaît... » Les tétons sont chez moi, une zone extrêmement érotique, Maxime parvient à me faire jouir rien qu'en les triturant... Le copain de Gérald ne se le fit pas dire deux fois, il se rua sur les fruits offerts et avec empressement les lécha et les suça, cela me tira encore énormément de gémissements de plaisir. Tandis qu'il s'occupait de mes pointes tendues, ma main était partie sur la bosse qui déformait son pantalon, je caressais son sexe à travers le tissu. Mes doigts déboutonnèrent sa braguette, et le vêtement tomba sur ses chevilles, je baissais délicatement son slip. Il bandait énormément, sa queue loin d'être aussi grosse et longue que celle de Gérald était bien proportionnée, un peu plus grande que la moyenne, lorsque je le branlais doucement, ce fut lui qui frissonna et gémit. A suivre 
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