1. Les malheurs de Gustave (4)


    Datte: 04/08/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    ... moment tranquille que je m’habitue. Voila, viens commence à bouger dit-elle en entamant un mouvement de houle avec ses reins. – Je crois que je vais te perforer tant je suis bien dans toi, vraiment, j’apprécie la douceur de ton sexe je suis super bien. – Viens plus fort et plus vite, je suis en train de prendre mon pied. Clac, clac, clac.... c’est le bruit des routons de Gustave qui viennent frapper la peau du périnée de la femme. Elle sent cette tige de fer qui lui ramone sa tire-lire, elle ne s’est jamais sentie si bien pinée. Elle sent que l’excitation monte pour aboutir à un orgasme qui demande une suite, mais Gustave, connaissant bien son affaire n’a pas encore envoyé sa purée et du coup, ils basculent et elle se retrouve aux commandes et en parallèle, lui peut lutiner sa poitrine. Elle monte et elle descend à un rythme de plus en plus soutenu. Elle sent à nouveau le plaisir qui monte de ses entrailles, mais Gustave sent aussi que la purée de poireau est prête à jaillir et à tapisser les ovaires de Florida. Et cela gicle violemment. Tout d’un coup, la porte s’ouvre. – Oups, excuse Florida, je reviens plus tard. – Non, viens, c’est un super coup. Déshabille-toi et rejoins nous. – J’ose, mais je ne suis pas très fraîche, je passe d’abord sous la douche. – Non, viens, mais prends la bouteille de champ, tu sais que j’aime quand tu as du goût, on fera couler un petit filet sur ta tirelire et je te la nettoierai. – Vous êtes des partisanes de Lesbos ? – Entre autres, surtout ...
    ... quand on a rien de mieux à se mettre entre les cuisses, mieux vaut la langue d’une autre femme que rien du tout. – Je peux aussi goûter. – Je vois que tu as déjà récupéré, je te propose de te mettre sur le dos et dans un premier temps, je vais continuer à jouer l’amazone et elle viendra te faire goûter ses flaveurs en mettant sa motte sur sa figure. Mais au paravent, ce serait bien de la déshabiller, tu ne veux pas l’aider lui dit-elle en le tenant par le manche. – Mais j’aimerai aussi bien lécher cette grosse sucette, Viens donne la moi dit Madeleine en se jetant voracement vers cette pine orgueilleuse. C’est bon, ce mélange de saveurs, la tienne Florida, mélangée à celle de Gustave. C’est un régal. – Couche-toi sur le dos, j’aimerai te mettre un peu de champ sur ton sexe pour pouvoir te déguster en avant première pendant que tu as encore tout le suc de la soirée entre tes jambes. Tu sais que j’aime cela. Quand cela pue un peu. – Vous êtes vraiment des cochonnes dit Gustave de plus en plus tendu en se mettant derrière Florida, dans l’intention de lui réaléser sa turbine à caca. – Non pas ça, demain, enfin aujourd’hui, je dois travailler et avec la grosseur de ton mandrin, je ne vais pas pouvoir m’asseoir. – Alors, je te le fais en levrette. – Mets toi comme prévu, on va être deux à profiter de tes services. Je suis sûr que Madeleine aimerait bien bénéficier de ton alésoir. Cela fait un moment qu’elle n’a pas eu une grosse queue vivante dans elle, mais met là devant, demain on ...
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