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Ma femme baisée devant moi : du fantasme à la réalité
Datte: 26/10/2018, Catégories: fhh, couple, couplus, cocus, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral 69, préservati, init,
... maillot, et tout de suite les rouvrit presque impudiquement pour continuer de s’abandonner à ma caresse. J’invitais Franck à s’approcher pour mieux voir. Il s’accroupit entre les jambes de mon épouse à environ 1 mètre de son ventre. Elle était maintenant à moitié couchée sur la terrasse, prenant appui sur ses deux coudes pour pouvoir nous observer. Moi j’étais donc agenouillé à ses côtés, la caressant d’une main, et notre étudiant se tenait en face. De temps en temps, je stoppais mon geste pour lisser et écarter ses lèvres intimes d’un doigt avant de revenir titiller son petit bouton rose en faisant des commentaires chauds sur son anatomie, pour décupler ses envies. — T’as vu sa belle petite chatte comme elle s’ouvre … et elle est super mouillée … regarde comme mon doigt coulisse bien … écoute le bruit que ça fait quand il rentre et qu’il sort … Ses yeux semblaient sortir de ses orbites devant le spectacle que nous lui offrions et une bosse impressionnante tendait son jean. — Et en plus elle adore ça … là elle est chaude comme elle ne l’a encore jamais été … n’est pas ma chérie ?— Oui … Philippe … j’ai envie de me faire baiser … je dégouline trop …— Humm … tu veux de la queue … ?— Oh oui … de la bonne grosse queue bien dure … Franck … tu veux pas me montrer la tienne … je te montre bien mon minou tout ouvert … t’as pas envie de baiser une belle salope …? Et moi, regardant Franck "alors … t’as pas envie de lui en donner … ? " Et Laurence répondant pour lui "oui … Franck, sors ...
... ta queue et viens me la fourrer …". Franck semblait comme pétrifié, comme changé en statue de glaise … la glaise qu’il pétrissait chaque semaine à ses cours de modelage avec ma femme. Alors elle se redressa et se mit à genoux. Son visage était à la hauteur de la fermeture de son jean et d’une main experte elle fit sauter les boutons et plongea directement sa main dans le caleçon pour en sortir une queue bien entendu déjà bien dure et grosse. Immédiatement elle la saisit pour se l’enfourner dans la bouche et la sucer avec déchaînement. C’était la première fois que je voyais ma femme sucer une autre bite que la mienne, mais le spectacle de son visage comme aspiré par cette queue, de sa joue déformée par le gland quand elle l’embouchait, de ses lèvres que j’embrassais si souvent, même d’un simple baiser chaste, et qui là se fermaient sur une hampe bien dure et la faisait glisser du sommet aux couilles, m’excita comme jamais. En 30 secondes mes vêtements gisaient épars sur le sol et je dégrafais le haut de son maillot pour libérer ses seins. Puis mes mains se posèrent sur ses fesses, qu’elle tendit à mon approche, comme une invitation à une dégustation plus poussée, et, accroupi derrière elle je plongeais trois doigts dans sa chatte qui ruisselait comme un marécage tout en la regardant administrer une superbe fellation. Elle ondulait sa croupe comme une chienne, perdant toute notion du temps et de l’espace, se libérant de toute contrainte pour ne laisser cours qu’à ses envies de ...