Mamie Louise 08
Datte: 26/10/2018,
Catégories:
Hardcore,
Mature,
Inceste / Tabou
... Anxieux, il écouta le monologue qui s’installait entre Muriel et son interlocuteur inconnu.— Oui !... Je viens de rentrer de la ferme des Martin !... Oui, j’ai pu obtenir un bon stock de fromage, le problème est résolu !... … Quoi Alfredo ?... … Quels problèmes ?... … … Bon, est bien, dis-lui de venir me voir qu’on en discute !... … Ah, autre chose, le petit fils des Martin a bien voulu m’accompagner pour la journée… … Il nous aidera pour les ouvrages que tu ne peux faire à cause de ta jambe !...Jérémy qui n’avait rien perdu de la conversation, fixa la patronne de l’auberge, quelque peu anxieux pour la suite de leur aventure amoureuse. Après un moment de silence, Muriel, déverrouilla la porte dans l’attente de dénommé Alfredo.— Je dois recevoir l’un de mes employés, expliqua-t-elle à Jérémy. Je ne tiens pas à ce qu’il te découvre ici !... Glisse-toi sous le bureau, il ne pourra te voir… Nous reprendrons ce que nous avons commencé lorsqu’il sera parti, je te le promets.Rassuré sur la suite de leur duo érotique, Jérémy s’empressa d’obéir. S’accroupissant, il parvint à se caser sous le bureau dont la face avant était entièrement close, le cachant à la vue du visiteur. Vu la hauteur restreinte, il dut s’agenouiller, le dos plaqué au fond du meuble. Ainsi placé, il vit Muriel s’installer dans son fauteuil, avant d’avancer celui-ci en direction du bureau. Mais vu la place restreinte, du fait de sa présence, Muriel dut écarter ses jambes pour s’installer confortablement, en ...
... véritable patronne qui reçoit un de ses employés.Accroupi, tel qu’il était, Jérémy sentit son cœur s’emballer en découvrant le merveilleux spectacle qui s’offrait alors à ses yeux. Entre les cuisses grandes ouvertes de la merveilleuse rouquine, il pouvait, malgré la légère obscurité de dessous le bureau, apercevoir, du fait de l’absence de culotte, le long sillon de la vulve encore close. Contrairement à sa grand-mère dont la fente sexuelle était dissimulée par une épaisse toison brune, l’entrecuisse qu’il découvrait était étonnamment lisse. Aucun poil ne venait soustraire aux regards le sillon charnel qu’il avait exploré en aveugle quelques instants plus tôt.Un coup frappé à la porte figea Jérémy, s’obligeant à respirer calmement afin de cacher sa présence.— Entrez, commanda Muriel !Jérémy entendit un pas s’approcher du bureau.— Alors Alfredo, vous avez des problèmes, interrogea Muriel ?Ayant repris de l’assurance, Jérémy se désintéressa du dialogue qui s’échangeait au-dessus de sa tête. L’affolant spectacle qui s’offrait à son regard suffisait à attirer toute son attention. La longue fente resserrée qui formait comme un sillon plus foncé entre les cuisses écartées de la femme assise sur son fauteuil bouleversait sa libido. Après un moment de contemplation, le désir le prit d’offrir à la patronne de l’auberge ce que sa grand-mère lui avait patiemment appris ; ce qu’elle appelait « le baiser d’amour ». Se sentant en confiance à l’abri du bureau, et surtout, hors du regard de la ...