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Jumeaux (2)
Datte: 26/10/2018, Catégories: Inceste / Tabou
... mon chargeur de portable tu l’as pas vu ? — Non. — T’es pas assis dessus ? — Je le sentirais si c’était le cas. — Pas forcément... Lève-toi... Elle me tira par le bras me forçant à me lever et se mit à retourner les coussins du canapé. Elle plongea presque dedans à la quête du chargeur perdu. Une fois de plus je ne pus m’empêcher de regarder ses fesses qu’elle pointait vers moi avant de me ressaisir et de regarder ailleurs. Elle ressortit du canapé avec le fameux chargeur en main. — Tu vois qu’il était là ! S’exclama-t-elle en signe de victoire. Comment ce chargeur a-t-il pu se retrouver là alors que je ne me souvienne pas l’avoir vue une seule fois, durant nos deux mois ici, recharger son téléphone ailleurs que dans sa chambre, je me gardai bien de lui poser la question. Après m’avoir souhaité une bonne nuit, Julie repartit. Pour la première fois depuis quatre jours on se parla sans que ça dégénère à mon grand soulagement. Nous n’étions jamais restés en froid aussi longtemps. Nos disputes se règlent en général le jour même – le lendemain quand c’est sérieux. Ce bref instant dans la même pièce sans aucune tension me faisait entrevoir une possibilité de réconciliation que j’espérais sincèrement ; d’ailleurs plus le temps passait moins les choses que je lui reprochais avaient d’importance. Bien qu’on soit sous le même toit, elle me manquait. J’avais presque envie de monter et lui dire mais quelque chose me retenait de le faire – peut-être de la fierté mal placée ? - et puis ...
... comme elle avait l’air de s’être calmée, les choses se remettraient sans doute en place toutes seules. Le lendemain matin alors que j’espérais qu’elle revienne encore vers moi, elle n’en fit rien. Elle s’était levée avant moi et quand je descendis pour déjeuner elle monta aussitôt prendre sa douche sans me dire un mot. Ma bonne humeur et mon optimisme de la veille furent balayés d’un seul coup et même ce que je lui avais quasiment pardonné bouillonnait de nouveau dans ma mémoire. Pendant la journée on s’échangea à peine trois phrases, et d’une banalité consternante. Le soir, pendant que j’étais dans ma chambre, elle vint me demander de l’aide pour un devoir d’anglais. J’étais de nouveau sur mes gardes avec elle et hésitai à la suivre, de peur d’un nouveau coup fourré. Mais devant son insistance – apparemment le devoir était pour demain – je finis par céder. J’avais oublié à quel point son niveau en anglais était désastreux, si bien qu’après une heure dans sa chambre à essayer de lui expliquer ceci ou cela, je pris la décision de lui faire moi-même son devoir. — Franchement je sais pas ce que j’aurais fait sans toi, me dit-elle une fois que j’eus fini. Qu’est-ce que je peux faire pour te remercier ? — Rien merci, je retourne dans ma chambre. — Tu veux pas un massage ? — Bah voyons. — Je te massais avant quand tu revenais du foot. — Tu l’as fait une fois et on était gamins. — Et alors ? Parce qu’on est grands je peux plus te masser ? — Mais non c’est pas ça. Enfin si. Puis je veux ...