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Jumeaux (2)
Datte: 26/10/2018, Catégories: Inceste / Tabou
... ans ? 14 ? — 14 je crois. — Ça fait bizarre. On dirait que notre vie s’arrête à 14 ans. — Hm... Attends ! Julie se leva et courut jusqu’en haut avant de redescendre quelques instants plus tard. — On va en faire une tout de suite, me dit-elle en se jetant dans le canapé avec son téléphone en main. J’ai aucune photo de nous deux dans mon portable et puis ça sera un souvenir de notre vie ici ensemble. — Si tu veux. Elle se rassit en se serrant contre moi, son bras tendu devant nous avec l’appareil. Elle passa sa main dans mes cheveux « pour me recoiffer ». Apparemment ça ne lui plaisait pas. Elle gigota sur elle-même et se colla encore davantage à moi. Elle posa sa tête sur mon épaule (ses cheveux avaient un parfum de vanille), tendit de nouveau le bras devant nous, me demanda de sourire et prit la photo. — Trop beaux, déclara-t-elle, en regardant la photo, avec un air ravi apparemment satisfaite du résultat. Le soir après manger, elle me proposa qu’on se fasse un film, ce que j’acceptai volontiers. Je lui dis de tout préparer pendant que j’allais prendre une douche. Quand je redescendis, toute la maison était plongée dans le noir, seul l’écran de la télé éclairait légèrement le salon. — Pourquoi t’as tout éteint ? Demandai-je à Julie qui m’attendait dans le canapé. — Pour l’ambiance. — L’ambiance ? C’est quoi le film que t’as choisi ? — Un film d’horreur, s’amusa-t-elle. Comme avant. C’est vrai qu’à une époque nous étions à fond sur les films d’horreur que nous regardions le ...
... soir en cachette quand nous étions censés dormir. Mais comme Julie ne pouvait s’empêcher de hurler nous nous faisions quasiment toujours engueuler et raccompagner dans nos chambres avant la fin. — Ça fait des années que j’en ai pas regardé un, lui avouai-je. — Alors raison de plus. En rejoignant ma sœur sur le canapé je pus admirer l’installation qu’elle s’était préparée. Elle s’était mis plusieurs coussins dans le dos de sorte à être à demi allongée et était recouverte d’une couverture polaire qui sortait de je ne sais où. Elle s’était gardée un paquet de chips que j’entendais craquer sous sa couverture et en avait versé un autre dans un saladier mis sur la table. 20 minutes et quelques scènes d’épouvantes qui avaient fait hurler Julie – et m’avaient fait sursauter aussi je dois avouer – plus tard, elle avait déjà quitté son coin et ses coussins pour venir se réfugier contre moi. Elle s’était permis d’emprunter mon bras, qu’elle avait emmené sous sa couverture et qu’elle serrait de toutes ses forces à chaque fois qu’elle avait peur. Dans les moments tranquilles, elle s’amusait juste à passer ses doigts entre les miens ou à suivre les lignes de ma main avec son index. Elle devait me trouver confortable car elle ne bougea plus pendant au moins une heure. Au bout d’un certain temps, toutefois, elle glissait de plus en plus jusqu’à finir totalement allongée, la tête sur ma cuisse et ses pieds enfoncés dans les coussins qu’elle avait abandonnés. Elle serrait toujours mon bras ...