Tante Gisèle, maman, et les autres... (16) - Histoires de Sexe

Tante Gisèle, maman, et les autres... (16)

... merveilleux ! — Tu es merveilleuse ! Mais maintenant que tu m’as offert ton sexe, Je t’offre le mien en récompense…veux-tu le voir et lui faire plaisir ? Elle baisse ses yeux et me regarde caresser ma queue sous mon pantalon. Elle tend sa main, la pose dessus et je dégrafe mon pantalon. Elle tire sur ma fermeture éclair et je retire mon pantalon. Elle essaye de baisser mon slip mais ma bite est tellement bandée que ça coince un peu avant qu’elle ne se libère en venant rebondir sur mon ventre. — OOOohhhhh, qu’elle est grande ! Et…et grosse ! — C’est pour ton plaisir ma jolie. - Whaou ! Elle est presque 2 fois plus longue que celle de mon mari ! Je me lève et la prenant dans mes bras je l’emmène dans ma chambre. - Déshabille-toi Corine, je vais te donner encore beaucoup de plaisir. Je fais de même et je la rejoins sur le lit. Elle est allongée avec ses mains sur ses seins. Je les retire doucement et à califourchon sur son ventre je pose ses mains sur ma queue. — Touche là, apprivoise-là, elle est pour toi, pour ta petite chatte. Prends la mesure de ce qui va faire ton bonheur Elle serre dans ses deux mains ma bite et commence à la caresser puis à la branler un peu. — Elle est belle ! Mais j’ai peur qu’elle soit bien trop grosse pour ma petite chatte ! — Mais non…le sexe des femmes est très extensible et c’est toi qui va la prendre pour la mettre dans ce merveilleux écrin que j’ai eu le plaisir de préparer. Je roule sur mon dos et je l’attire sur moi. — Mets-toi à genoux et fais ...

... comme tu en as envie et surtout comme tu le sens. Prends ton temps. Je ne bouge pas, je te laisse faire et si c’est trop douloureux, tu peux arrêter, pas de problème. Seul ton plaisir compte. Corine positionne sa vulve au-dessus de ma bite droite comme un I et j’aperçois ses lèvres restées entrouvertes, me laissant voir l’entrée de son sexe m’invitant à la prendre. Rien que de penser que ma queue va s’enfoncer au plus profond de sa chatte, je bande encore plus. Les mains de Corine caressent ma queue et elle sourit en sentant les vibrations de celle-ci dans ses mains maintenant avides du plaisir à venir. Elle place ma bite contre les lèvres de sa belle petite chatte, bien au centre, presse un petit peu et je l’entends prendre une profonde inspiration. Elle commence à pousser lentement. Je sens mon gland entrer entre ses lèvres bien lubrifiées par sa jouissance précédente, elle s’arrête, recule, et elle recommence. Je vois sur son visage sa détermination. Elle reprend ma bite de nouveau, et cette fois, le gland rentre en entier, comme aspiré par son sexe en corolle autour de mon nœud. Elle descend son corps sur moi et je sens les parois de son vagin étroit s’écarter au passage de mon épée de chair. Corine pousse un petit cri de douleur, mais elle continue à pousser vers le bas. Je laisse échapper un grognement de plaisir quand elle enfonce la moitié de ma bite dans son trou heureusement bien préparé. Elle pousse un autre cri de douleur, mais elle ne s’arrête pas pour autant et ...