Une petite ville de Province (12)
Datte: 26/10/2018,
Catégories:
Erotique,
Jacqueline avait passé son samedi à faire du shopping afin de s’acheter une tenue plus élégante. Le lundi matin elle s’est donc parée de ses nouveaux habits en espérant répondre ainsi aux attentes de son patron. Sa mère qui n’avait pas vu les achats qu’elle avait effectués fut étonnée de la voir habiller ainsi. Elle lui expliqua qu’elle ne faisait que suivre les recommandations de son patron. Sa mère maugréa un peu dans ses dents sans que Jacqueline ne comprit vraiment ce qu’elle disait, mais n’insista pas. En arrivant à l’étude, elle se rendit dans son bureau, le notaire vint la rejoindre presqu’aussitôt. - Bonjour Jacqueline, j’espère que tu es convenablement habillée, nous devons aller chez monsieur Courget, notre plus gros client. - Bonjour Maitre, j’ai suivi votre conseil et j’ai changé ma garde-robe. Répondit-elle fièrement. - Voyons cela, voyons cela… approche ! Dit-il en faisant une petite moue dubitative. Jacqueline se leva et se dirigea vers le notaire. Il le va la main droite pur lui faire comprendre de stopper. Elle s’arrêta, il pencha la tête un peu de côté en la fixant. Elle attendait le verdict et le craignait de plus en plus, car il ne montrait aucun signe positif, il semblait de plus en plus perplexe et grimaça en dodelinant de la tête. - Tourne un peu… Elle se retourna et s’arrêta. - Je ne t’ai pas dit de me tourner le dos, mais de tourner… que je vois ta jupe en mouvement, pour voir si elle se replace bien. Dans le métier, le paraitre est important, car les ...
... clients doivent avoir confiance en nous. Jacqueline tourna sur elle-même, la jupe se leva légèrement. - Plus vite ! Elle accéléra le mouvement, mais rapidement, elle perdit l’équilibre. Il était assez proche d’elle pour la rattraper avant qu’elle ne se retrouve affaler sur le sol. Elle se retrouva ainsi dans ses bras. Elle s’excusa en voulant se dégager, mais il la retenait et elle n’osa pas insisté. Elle était toute rouge. - Eh bien, tu n’as pas beaucoup d’équilibre. Il riait et elle fut un peu soulagée ne plus voir cet air de reproche qu’il semblait avoir peu de temps avant. - La jupe ne semble pas de très belle qualité, mais elle a un maintien convenable. En disant cela, sa main s’était posée sur le tissu du vêtement comme pour bien le remettre en place, mais appuyait assez fortement pour bien sentir le galbe de fesses de Jacqueline. Elle ne pouvait ignorer ses attouchements, mais n’osait pas contrarier son patron. Sa naïveté lui fit même croire que, même si ce geste n’était pas vraiment convenable, son patron n’avait eu aucune idée mal placée, il voulait simplement s’assurer qu’elle avait bien choisi sa tenue. Elle était novice dans le métier et il était normal que non seulement il lui donne des conseils, mais qu’en plus il vérifie qu’elle les suive bien. Les autres employés de l’étude commençaient à arriver et même si le bureau était fermé et qu’ils ne pouvaient donc les voir, le notaire s’écarta de Jacqueline. - Bon, prépare le dossier de Monsieur Courget, nous partons ...