1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°915)


    Datte: 27/10/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... Noblesse de la région comptait de belles femmes en âge de convoler serait là... Ils arrivèrent à un palier donnant sur un vaste escalier de pierres descendant vers un immense hall baigné de la lumière du jour. Sissy, toujours curieuse, mais surtout impressionnée par la beauté des lieux remarqua la très élégante petite table Bouillotte, en merisier et plateau de marbre Carrare sur laquelle était posée une pendule en marbre blanc surmonté d'un sujet en bronze, une femme alanguie. Les aiguilles indiquaient 8 h 30 … Sir Édouard Evans commençait à descendre les marches. Sissy remarqua pour la première fois l'élégance de sa tenue et l'aisance naturelle qui se dégageait du charisme du Marquis. Chaussé de hautes bottes de cuir fauve, il portait une culotte d'équitation brun-chameau et une veste cintrée noire. Tapotant négligemment sa jambe gauche avec le bout de la cravache qui avait marqué les épaules et les fesses de Sissy, Le Marquis d’Evans posait ses pieds sans le moindre bruit sur chaque marche, très droit, altier. La démarche d’un grand Seigneur, démarche noble sans à-coup. Sissy appréciait à ce moment-là toute le fort charisme du personnage. Traversant l'immense hall carrelé, il accéda au perron, Sissy toujours à deux pas derrière lui. C'était un double perron bordé de balustres en forme de goutte d'huile. Sir Édouard avança jusqu'aux balustres, Sissy se trouva alors au centre, en pleine lumière. Elle découvrit alors la scène et ne pu s'empêcher de baisser les yeux. La honte ...
    ... l'enveloppait et la faisait frissonner … tous ces yeux tournés vers elle, Sissy quasiment nue simplement harnachée du dispositif de chasteté et munie du plug portant la jolie tresse de crins blonds... Comme s'il avait des yeux dans le dos, le Marquis dit alors : -"Relèves la tête Sissy que mes gens voient tes yeux ! Et dis leur qui tu es ! La gorge nouée, le regard perdu Sissy n'arrivait pas à prononcer le moindre mot. -"Eh bien petite traînée, est-ce si difficile d'affronter sa condition ? Le coup de cravache atteint Sissy sur le haut de la cuisse la faisant se plier de douleur. -" Me feras-tu attendre encore longtemps petite putain ? Sissy rouvrit les yeux qu'elle avait fermés sous la brûlure du coup de cravache. Il y avait devant elle, deux mètres plus bas, bien alignés sur les graviers de l'esplanade, au moins trente personnes. A droite le groupe des hommes en pantalons et vestes noirs, à gauche le groupe des femmes, en robe noire et tablier blanc. Au milieu, entres les deux groupes de domestiques, un homme en tenue de chasse avec, à ses pieds une magnifique femme rousse et à ses côtés une espèce de géant beau comme un Apollon. Un grand tapis qui lui sembla être un Tabriz était disposé là. A sa gauche, en haut de la volée de marche se tenaient trois personnes qu'elle n'avait jamais vu. Un homme, jeune et bien mis, une belle femme d'une quarantaine d'année aux pommettes hautes et fermes qui adoucissaient à peine un regard dur et froid et une autre belle femme mais celle-ci ...