Le club des nymphes - tome II (23)
Datte: 04/08/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
... t’emprunter cette fois aussi Thomas ? me demande Anz. Je te laisse Boris ? — Non, je vais m’occuper personnellement de mon homme, cette fois. Je m’avance donc vers le concerné qui, tout sourire, se met en position, prêt à me laisser savourer son pénis qui redresse la tête à mon approche. Je m’agenouille et caresse l’engin pour lui laisser le temps de se réveiller totalement. — T’aurais pu te retenir tout à l’heure, me plains-je faussement ; tu m’as fait perdre la manche, salaud ! — Ma chère, commence-t-il en utilisant un ton pompeux, je ne cherchais pas votre malheur, mais la petite y mettait tant d’ardeur que je n’ai pas eu le cœur de lui refuser ma liqueur. Mais, ma douce beauté, si vous le désirez il me reste quelques jets que je vous cèderai volontiers. Il faudra vous montrer gourmande pour mériter cette belle offrande que je vois désirée ardemment dans vos troublants yeux amande. Ne perdez donc pas plus de temps à écouter ce discours éloquent et honorez maintenant votre amant en lui savourant le gland. Je souris, amusée par cette poésie grivoise dont la soudaineté m’a laissée pantoise. Comment ne pas accéder à sa requête après de si belles paroles ? Attendre plus longtemps de combler son envie me rendrait folle. Je m’exécute donc avec plaisir pour que son désir puisse s’accomplir et dépose avec précision une langue pour ma dégustation. Sur cette hampe acquise, je peux enfin agir à ma guise. Je la sens sous mes lèvres frémir, et bientôt le voilà qui gémit. Combien ...
... d’autres messieurs, pendant ces deux merveilleuses années, se sont retrouvés comblés par mes soins attentionnés ? J’ai vu passer des tas de verges gonflées. Me voilà bien changée, en deux ans : dévergondée, délirante je me suis retrouvée. Délicate, je les ai sucés. Des liqueurs j’en ai savourées. Délicieuses, toutes étaient. Je ne fais pas déni de ce délit de luxure car il est vrai que m’est acquis le goût du stupre. Je suis braise pour la baise, j’aime qu’ils pipent pendant mes pipes, j’adore l’anal, les bacchanales, je ne suis pas gauche pour la débauche, et les orgies me font jouir. Je voue mon corps à la sensualité, aux plaisirs charnels, à la sexualité. Vois-tu, mon bon compagnon, moi aussi j’ai de l’inspiration. La vue de ta belle trique me déclenche l’âme poétique. Moi, nymphe énamourée, signe cette ode osée par des coups de langue bien dosés sur ta tige adorée. Tu es proche de jouir, je le devine ; alors laisse ta coquine extraire de ta douce pine le foutre que tu lui destines. Je me sens impériale au moment de ton cri bestial. Je fais céder la quéquette de la plus belle de mes conquêtes, et n’ayant pas le cœur d’aller voir ailleurs, je reste là et je souris devant ton sexe qui se ramollit. — Et la victoire revient à Lorelei et son équipe ! hurle la voix d’Élodie. Elles viennent de remporter cette troisième manche. Avec deux victoires contre une, Lorelei est la grande gagnante de ces jeux érotiques. Veuillez faire une ovation, Mesdames et Messieurs, à la future présidente du ...