1. Des débuts très prometteurs (4)


    Datte: 27/10/2018, Catégories: Gay

    ... recueille un filet de mouille gluante qui s’étire entre son gland et mes lèvres… et je le goûte : il est salé et épicé ! Ma langue revient à la charge et titille son gland sur le pourtour décalotté de son chibre. Son sillon est très sensible et cette caresse linguale lui arrache des petits gémissements. Je sens nettement son gland qui palpite … et son bas-ventre qui se contracte sous mes coups de langue presque ininterrompus. Je ne veux pas qu’il jute, mais je tiens à ce qu’il jouisse le plus longtemps possible ! Alors, je recalotte difficilement son gland pour que sa pré-jute s’accumule un peu dans son prépuce. C’est un truc que les anglais m’ont appris : le massage de la peau du gland sur le liquide séminal est très agréable … Alors, pour essayer de changer un peu le cours des choses, je lui demande : « essaye donc de pisser, mon salaud » … Comme s’il se réveillait d’un bon rêve, il bredouille : « Quoi ?? Qu’est-ce que tu veux ?» Je lui répète calmement « essaie de pisser pour voir » ! Je sens qu’il débande un peu … « Je suis trop dur, je peux pas … et puis je vais te pisser dessus ! ». « Ne t’inquiète pas pour moi ». « Alors, tu essaies, salaud ? » Aucune réponse ne me parvient mais je sens sa queue qui mollit : il va pouvoir se lâcher ! Je n’ai jamais vu pisser un mec qui bande mais j’aimerais bien y assister pour voir ce que ça fait ! Je sais que les « uro » en sont friands et je voudrais comprendre pourquoi …. Mais Michel ne pisse toujours pas et continue à mollir ...
    ... doucement, alors je reprends mes jeux avec sa queue ! Je suis très excité et mon chibre commence à prendre des proportions importantes : j’ai envie de voir la bite de Michel et surtout d’entendre jouir ce dernier ! Je dégage bien sa queue pour ne rien manquer du spectacle. Ses veines sont gonflées dans une peau tendue à bloc sur sa tige. Je l’entends souffler comme un phoque : il n’en peut plus, c’est sûr !! « T’as envie, hein mon salaud ? » « Déconne pas, t’es vicieux, là, mec » « Tu vas juter mieux que jamais. Je veux que tu jouisses comme une bête. Tu te doutes bien que je bande un max moi aussi ! » En lui disant ça, je lui masse doucement les couilles en les pressant un peu. Je les sens bouger sous la peau tendue de ses bourses et ça m’excite encore davantage … Il va juter : je le sais … mais il faut que je fasse durer sa bandaison le plus longtemps possible. Son méat bave des flots de pré-jute …. Je dois avouer que j’ai, moi aussi, la queue en ébullition ! Je « bave » comme un puceau : mon gland est recouvert d’une mouille très épaisse et gluante … Je tiens ses couilles dans une main et sa tige dans l’autre pendant que mon visage est proche de son gland. J’enserre progressivement plus fermement ses testicules et je les tire vers le bas. Sa queue suit le mouvement et donc s’approche de mes lèvres ! Putain que ça m’excite : j’ai la queue dure comme du béton et mes burnes remontent dans mes bourses à m’en faire mal … je crains que, si Michel décharge, je jute en même temps que ...