1. Lendemain de cuite


    Datte: 27/10/2018, Catégories: fh, fplusag, fagée, piscine, hsoumis, fdomine, humilié(e), Masturbation Oral hdanus,

    Je me réveille et j’ai la gueule de bois… Hier soir, je suis sorti et j’ai bu comme un trou, comme quasiment tous les vendredi et samedi soirs. Je passe la tête par la fenêtre. Il y a un grand soleil dehors, il fait déjà chaud. Je tourne la tête vers la gauche et qui vois-je ? Hélène, la compagne de mon père, en train de se faire dorer le cul au bord de la piscine. Un beau cul d’ailleurs, bronzé à point et bien ferme. Huit heures de gym par semaine, ça sculpte un corps : malgré ses 51 ans, cette femme est magnifique. Quant à moi, 32 ans, je suis pas mal non plus, mais bon, en ce moment je suis célibataire : j’ai commencé par perdre mon boulot de consultant, puis je me suis fait plaquer par ma copine qui est partie avec un vieux plein de ronds, et je suis retourné chez papa, histoire de faire le point. Je suis fils unique, papa est riche, il travaille beaucoup et n’est quasiment jamais là. Hélène et moi profitons de la villa, nous sommes souvent seuls tous les deux, elle vit sa vie et moi la mienne. La maison est très grande, nous ne nous gênons pas. Je prends une douche. Je suis encore soûl d’hier soir et c’est un plaisir de sentir l’eau couler sur mon corps. Je ferme les yeux, je me masse les couilles. J’imagine le corps d’Hélène… mon sexe commence à gonfler… merde, je suis vraiment bourré ce matin ! La toilette terminée, je file sur la terrasse de la piscine, histoire de piquer une tête. Elle est là, allongée sur le ventre, à même le sol, nue. Elle semble dormir et mon ...
    ... regard n’arrive pas à se détacher de ses fesses, de ses jambes, de son dos, de son cou… J’enlève la serviette qui m’enserre la taille et me retrouve nu moi aussi, les yeux rivés sur elle. Je reste là, à regarder, immobile, stoïque, le soleil me cogne sur la tête. J’avance et saute dans l’eau. Ça fait du bien ! Je sors la tête de l’eau et la tourne vers Hélène : elle me regarde d’un air dépité. Elle est belle, le visage marqué mais beau. Mon bruyant plongeon l’a réveillée. — Alors, espèce de branleur, encore rentré bredouille !— Mouais… comme d’hab ! Je sors de la piscine et je m’assois sur le rebord, les pieds dans l’eau. Elle est de l’autre côte du bassin, en face de moi. Mes yeux sont toujours braqués sur elle, je parcours les lignes de son corps. Elle aussi me regarde et je lis de l’ironie sur son visage. Nos regards se croisent, puis elle laisse descendre ses yeux vers mon sexe. Merde, je bande ! Je suis vraiment bourré… Bourré pour bourré, continuons dans le n’importe quoi. Je commence à me caresser le sexe, bien lentement. Je descends jusqu’aux couilles, je continue à la fixer. — Je suis un branleur qui bande comme un taureau, sur ton compte.— Ah bon, sur mon compte ! t’es sûr qu’on t’a pas mis des extas dans ta vodka hier soir ? Espèce de petit con. Je continue à la regarder tout en astiquant mon sexe bandé. Elle tourne la tête de l’autre côté. J’ai la tête qui bourdonne et j’ai soif, un vrai lendemain de cuite. Je me lève et rentre dans la villa. J’ouvre le frigo et bois ...
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