1. COUP DE MAIN


    Datte: 16/06/2017, Catégories: Dans la zone rouge,

    ... d'entrer dans son jeu et elle a élevé sa voix aussi: "Tout ce que tu voudras, puisque Claire veut de la bite, alors elle va en avoir! Tu peux lui baiser la bouche ou la chatte, mais laisse son cul tranquille. C'est ma propriété privée!" Stéphanie se leva, se dirigea vers Claire et l'attrapant par sa laisse, tira dessus d'un coup sec pour lui faire lever le menton: "Voilà ce qui arrive aux petites salopes qui trompent leur maîtresse en allant flirter sur internet! Maintenant, va servir ton Maître." Elle a tiré sur la laisse en lui donnant un bon coup de cravache sur la fesse pour que sa chienne se dresse à quatre pattes et, tandis qu'elle l'entraînait vers moi, elle recommença plusieurs fois à lui administrer des coups de cravache pour accélérer le mouvement. Chacun des coups de cravache de Stéphanie était accompagné d'un cri aigu qui sortait du bâillon de sa chienne, et quand elle fut suffisamment proche de moi, elle me tendis la laisse en disant: "Tiens, elle est à toi!" Ensuite elle quitta la pièce, me laissant seul avec Claire. Tandis que la petite rousse soumise rampait vers moi, je pouvais voir des larmes de crainte couler sur son visage. Je ne pense pas être un homme sadique, mais son attitude soumise et son regard de bête acculée m'excitaient encore plus. Sans réfléchir, j'ai reproduit le geste de Stéphanie en tirant sur la laisse pour approcher son visage de ma bite. Lorsqu'elle fut suffisamment proche, je l'ai saisie par sa chevelure rousse manifestement teinte ...
    ... pour lever son visage vers moi. C'est à ce moment précis que je l'ai reconnue! Mais oui, bon sang, Claire, la petite blonde dont j'étais secrètement amoureux au collège! Sa douceur, sa féminité, ses grands yeux candides, j'étais amoureux fou d'elle et j'en rêvais la nuit! Dans cet accoutrement, ainsi humiliée, je ne l'avais pas reconnue! Sans lâcher sa chevelure, je l'ai attirée au plus près puis, saisissant son collier, j'ai levé son visage vers moi pour la regarder dans les yeux: "Je ne pense pas que tu te souviennes de moi, n'est-ce pas Claire? Nous étions au collège ensemble, et pour être honnête avec toi, ça fait longtemps que je rêve de te baiser … J'en ai dépensé des litres de sperme en me branlant la nuit en rêvant à toi!" J'ai dû la lâcher pour défaire ma ceinture et dégrafer mon pantalon, libérant ma queue de sa prison et la pointer directement sur le visage de cette salope de Claire. Je lui ôtais son bâillon et reprenait sa chevelure flamboyante pour attirer sa bouche sur ma bite. "Allez, au boulot, salope!" À ma grande satisfaction, Claire n’a pas hésité, elle a posé ses mains sur moi, saisissant la base de ma bite et mes bourses, et s'est jetée bouche grande ouverte sur mon sexe. Il était évident qu'elle n'avait jamais sucé de bite avant, car elle suçotait gentiment le gland, l'engloutissant péniblement sans pouvoir gober la tige, se contentant de bisouiller et de léchouiller. Je l'ai laissée faire comme ça pendant un moment pour qu'elle s'habitue un peu, avant de ...
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