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Que c'est dur, une première séance photo !
Datte: 29/10/2018, Catégories: fh, ffh, Collègues / Travail Oral pénétratio,
... hanches dans ses mains. Elle a pris des photos puis elle a enchaîné les positions. Nous étions des lampadaires et des tables de chevet et même une étagère : j’étais mains et genoux sur le sol et Dominique était mains et genoux sur mon dos. Elle a glissé ses pieds sur mes épaules et ses mains sur mes fesses. Mme Duvalle a mis des planches sur le sol sous mon ventre et sur le dos de mes mollets. Elle a mis d’autres planches sur les dos de Dominique et sur ses mollets. Sur ces planches, elle a mis une série de livres et des bibelots. J’avais peur que tout s’écroule si elle ne se pressait pas, mais elle a obtenu ses photos. Je me serais senti stupide et faible si j’avais craqué et laissé tout s’écrouler alors que Dominique avait montré tant de force dans notre première pose. Nous avons pris une pause et Mme Duvalle a disparu pendant un moment. Quand elle est revenue, elle était nue comme Dominique et moi. Elle a posé plusieurs appareils photo sur trépied sous différents angles et hauteurs. Elle les a programmés pour enclencher automatiquement toutes les quelques secondes. Cette fois, c’était des appareils numériques puisqu’elle n’avait pas besoin de se soucier de changer régulièrement les pellicules. — Éric, comme tu es fort, peux-tu nous tenir toutes les deux dans tes bras ? Je n’étais pas sûr de savoir comment elle voulait nous disposer, mais j’ai dit que je pourrais certainement essayer. Elle a disparu à nouveau dans sa chambre et, quand elle a reparu, elle n’avait plus ses ...
... lunettes ni son fume-cigarette. Elle m’a accroupi sur un genou en tenant Dominique dans mes bras. Un bras était sous ses épaules et l’autre bras était directement sous son cul. Elle a demandé à Dominique de plier ses genoux et de tenir fermement les mains contre le dos de ses jambes. Lorsque Dominique fut prête, Mme Duvalle est montée au-dessus d’elle et a mis sa tête entre ses jambes. Cela a mis le visage de Dominique entre les jambes de Mme Duvalle. Les deux filles avaient les genoux pliés, et chacune tenait les chevilles de l’autre dans ses mains. Les appareils ont déclenché une salve de clics et Mme Duvalle m’a demandé si je pouvais tenir debout. Ce n’était pas facile pour moi. J’avais déjà un genou à terre et, ensemble, les filles devaient peser près de cent-dix kilos. Mes bras étaient fatigués et las, et ma jambe pliée était extrêmement tendue ; mais j’ai réussi à me redresser sur mes deux pieds en tremblant. Elle m’a demandé de tourner autour de moi-même et de monter et descendre autant que je le pouvais tandis que les deux filles restaient étroitement enlacées. Je n’avais presque plus d’énergie quand j’ai remarqué que les deux filles faisaient un bruit de siphonnage. Elles étaient toutes les deux à lécher et sucer et à donner des coups de langue ; et malgré ma douleur presque insupportable et la combustion dans mes bras, je me suis accroché. À un certain moment, ma tête est retombée en arrière et j’ai ouvert ma bouche pour aspirer une grande bouffée d’air. Mes yeux ...