Mère au foyer
Datte: 29/10/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
vengeance,
Oral
préservati,
pénétratio,
attache,
yeuxbandés,
confession,
... cours par semaine. Après tout, je ne vais pas être plus royaliste que le roi et j’accepte. Très vite, j’ai l’impression qu’Hugo – c’est son prénom – ne me considère pas seulement comme son professeur, mais aussi comme une femme et qu’il me fait une petite cour. D’un côté, je suis gênée par son attitude, et de l’autre assez fière de cette situation. Cela fait bien longtemps qu’un homme ne s’est comporté de la sorte avec moi. Oh, parmi nos relations, certains m’ont déjà fait comprendre qu’ils se verraient bien mon amant, mais je n’ai jamais donné suite. Hugo, c’est différent. Près de vingt ans plus jeune ; je suis flattée qu’il s’intéresse à moi. Il est plutôt beau garçon et ne doit pas avoir de difficultés pour trouver des femmes à mettre dans son lit. Je sais qu’il est célibataire, grâce à sa fiche. Si mon premier mouvement est de stopper ses prétentions, je décide cependant de le laisser faire. Qu’est ce que je risque? Le jeu de séduction est un passe-temps délicieux. À chacune de ses visite, je suis presque impatiente de découvrir ce qu’il va faire. Une épaule qui s’appuie. Une cuisse qui se colle à la mienne. Des mains qui frôlent mes bras nus. Des bonbons, des gâteaux, même des boissons pour, comme il dit, « joindre l’utile à l’agréable, faire une coupure, recharger ses batteries » ; enfin, toutes sortes de raisons qui nous font quitter notre table de travail pour les fauteuils du salon. À ce rythme-là, les leçons débordent largement. Et puis, moi aussi je suis entrée ...
... dans le jeu. Au début, je le recevais dans une tenue assez classique, voire austère ; de celles qu’une femme doit avoir pour bien marquer son statut de professeur. Puis, petit à petit, j’ai évolué pour abandonner les pantalons au profit des jupes et des robes avec chemisiers ou pulls associés. Plus d’une fois j’ai surpris son regard qui s’égarait dans mon décolleté qu’un bouton malicieux rendait accessible, ou bien qui suivait le galbe d’une jambe lorsque le fauteuil profond troussait le tissu de la jupe. Un jour, tout a basculé. Alors que nous étions assis côte à côte, nous avons tourné la tête en même temps, et après une fraction de seconde il m’a embrassée. Comme je ne répondais pas vraiment à son baiser, il s’est excusé. — Oh, excusez-moi ! Je ne sais pas ce qui m’a pris… J’étais troublée. Le goût de ses lèvres sur les miennes m’avait fait un effet que je n’aurais pas imaginé. L’impression de revenir en arrière, à l’époque de mon premier baiser. Je me disais aussi que j’étais une vraie garce en n’assumant pas ce que j’avais contribué à déclencher. — Non, ce n’est rien. C’est de ma faute. Et nous avons repris la leçon. Mais bien sûr, il a recommencé et je l’ai laissé faire. À partir de ce jour, chaque leçon – que je me faisais un point d’honneur à assurer – s’est accompagnée de baisers et de caresses. Pourtant, comme nous devenions de plus en plus audacieux, je sentais monter en moi des sentiments contradictoires. La honte de me voir engagée dans une liaison qui ne pouvait se ...