Initiations impudiques entre potes
Datte: 29/10/2018,
Catégories:
hh,
fhh,
hbi,
jeunes,
copains,
vacances,
piscine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
intermast,
Oral
init,
confession,
couple+h,
... ce jeu, de partager notre jouissance. En tous cas, je trouvais notre complicité grandissante et ludique, ça me plaisait. Coté physique, on ne se cachait plus trop. Un soir, je me rappelle que nous avions même décidé de prendre un bain ensemble, comme ça, face à face. C’était chouette de partager ce bain, on bandait comme des ânes, on jouait avec nos queues à travers la mousse. Ça faisait vraiment jeux d’ados retardés, mais ça nous faisait marrer. On se matait nos queues, nos culs, nos couilles. Les siennes étaient rasées. Et puisqu’il m’avait recommandé de dégager quelques poils, il se proposa pour le faire. Ce fut un grand moment de confiance, moi, tenant ma queue d’un côté, pendant qu’il me rasait doucement les couilles. À la fin, mes couilles étaient bien lisses, c’était divin. Cet été-là, mon ami rencontra Céline, une nana assez mignonne dont je me rappelle surtout la magnifique poitrine. Elle avait un sacré caractère, ce qui la rendait encore plus attirante. Pendant une semaine de vacances entre deux jobs d’été, j’avais élu domicile chez Seb, pour profiter du calme de la maison et surtout de la piscine. À la même époque Céline aussi logeait chez Seb, le temps de l’été. Elle avait décroché un job d’été de serveuse dans un restaurant du voisinage. Je me rappellerai longtemps de cet après-midi ensoleillé. Seb et moi, on s’était installés autour de la piscine, pour bronzer peinards, musique, boissons, magazine, on se la coulait douce. La maison était à nous, comme des ...
... princes. À un moment donné, il proposa de se foutre à poil. Il est vrai que rien ne nous obligeait à garder nos maillots. Ni une, ni deux, on se retrouvait nos queues à l’air, et même en l’air. On était aussi excité l’un que l’autre à se mater, nos queues, nos culs. Après quelques jeux dans l’eau, à monter et descendre nos périscopes, on était assez sous tension. À tel point que, même hors de l’eau, je bandais toujours. Et encore, voire pire, après quelques minutes à sécher au soleil. Seb m’en fit la remarque : — Mais tu bandes encore ! Il s’installa à mon côté, et là, surprise, il se pencha vers ma queue, me demandant s’il pouvait la sucer. J’étais loin d’être choqué ; ça renforçait notre complicité. Ma queue tendue avait donc été une invitation pour une superbe pipe, au soleil, au bord de l’eau. Quel souvenir ! Je le trouvai très doux, un peu maladroit, mais terriblement efficace. Au départ un peu gêné par la goutte qui perlait à l’extrémité de mon gland, il ne s’en formalisa plus ensuite. Quant à moi, j’étais super excité, je l’interrompis plusieurs fois pour calmer ma fièvre et éviter que je n’éjacule prématurément. Lui aussi bandait dur. Sa queue était très épaisse, très large. Elle me faisait aussi envie. — À mon tour, j’ai envie d’essayer avec la tienne. Je me rappelle combien son sexe était raide et tendu, c’était la première queue que je prenais en bouche. Elle était chaude, grosse, très grosse. J’essayai de ne pas le blesser avec mes dents, de jouer avec ma langue, de ...