1. Aventure en montagne


    Datte: 30/10/2018, Catégories: hh, hplusag, grossexe, poilu(e)s, froid, Oral hdanus, hsodo, occasion, Gay

    ... Versailles, on n’y était pas. Ce chalet, vestige d’une époque révolue se composait d’une unique pièce, sans eau courante, ni électricité. Il offrait aux montagnards, avant l’avènement de la civilisation des loisirs, un confort spartiate. Progrès, on accédait au grenier qui autrefois servait de chambre par un vrai escalier. Une trappe isolante empêchait la chaleur de s’échapper. Les seules autres concessions visibles à la modernité : un grand lit douillet occupant tout le pan Ouest, une gazinière et surtout, trois lampes-tempête qui éclairaient la scène d’une lumière diffuse. — Je suppose que tu n’as pas mangé ?— Non !— Je suppose également que tu as faim ?— Oui mais…— Pas de mais ! Il servit la soupe fumante dans un grand bol, accompagné de pain de campagne et de tomme de montagne. Le jeune homme dévora ce repas improvisé, sous l’œil attentif de son hôte. Lorsqu’il voulut se lever, une grande douleur irradia toute sa cheville et il dut se rasseoir précipitamment. Le vieux s’en aperçut : — Ça ne va pas ?— C’est ma cheville ! Je me la suis tordue en tombant ! J’espère que je ne me suis pas fait une entorse.— Laisse-moi voir ! Jérôme, délaissant son repas, s’accroupit devant le jeune homme. Il remonta délicatement la jambe de pantalon, palpa la cheville avec de grandes précautions et énonça son diagnostic : — Je ne pense pas que tu te sois foulé quoi que ce soit ! C’est seulement la douleur due à la contusion. J’ai ce qu’il faut. Du tiroir d’où il avait tiré le portable, il ...
    ... sortit un pot d’onguent. — Retire ton pantalon et allonge-toi sur le lit. Christophe ne pouvait prendre appui sur son pied droit et Jérôme dut l’aider d’abord à atteindre le lit puis, une fois qu’il l’eut allongé, lui ôter son pantalon. Sentir ce corps jeune contre le sien provoqua un doux frissonnement dans son entresol. Celui-ci se transforma en début d’érection quand, pour faire glisser le pantalon, ses mains rencontrèrent la peau soyeuse du jeune homme. Il prit mille précautions pour ne pas accentuer la douleur, ce qui, égoïstement, lui permit de lents et lascifs frôlements tout au long de chaque jambe, du haut de la fesse (tendre à souhait) via l’intérieur de la cuisse (au passage, par inadvertance, une petite touchette de bite) jusqu’au mollet (au galbe exquis). Quand, enfin, il déposa le futal, la queue du vieux tendait l’étoffe de son futal. Il s’aperçut, alors, que Christophe, abandonné, avaient fermé les yeux. Le vieux n’osait pas y croire : cela lui aurait plu ? Il se morigéna aussitôt :« Arrête, ce gamin, tu le connais depuis des années ! Il essaie simplement d’oublier sa douleur ! ». Il profita de l’aubaine pour contempler le corps nu du garçon. Un corps bien fait, musclé où il fallait, comme il fallait. Des pectoraux bien dessinés, des abdos chocolat. Un système pileux qui se limitait à deux touffes sous les aisselles et un buisson pas très ardent. Une bite fuselée qui reposait mollement sur la cuisse du jeune homme. Jérôme se secoua. Il devait se reprendre. D’une ...
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