Aventure en montagne
Datte: 30/10/2018,
Catégories:
hh,
hplusag,
grossexe,
poilu(e)s,
froid,
Oral
hdanus,
hsodo,
occasion,
Gay
... toucher, de la sentir grossir, durcir sous sa main. Lui qui n’avait pas beaucoup de poils, mais alors vraiment pas beaucoup, avait envie de fourrager dans ces broussailles enchevêtrées. Les deux hommes, perdus dans leurs fantasmes, ne parvenant pas à trouver le repos, s’agitaient beaucoup. Heureusement le hasard, (Dieu est parfois bienveillant, même pour les pédés), dénoue certaines situations. Deux gestes indépendants en se conjuguant peuvent tout enclencher : Jérôme, pour aucune raison particulière, se coucha sur le flanc gauche, à la seconde où la main droite de Christophe se déplaçait sur sa droite justement. La main rencontra la queue. Réaction réflexe, elle recula. Constat : le vieux bandait. La main revint vérifier, s’attarda. L’instant de stupeur passé, la jeunesse eut l’initiative de la joute. La main entama une douce caresse le long de la hampe dressée déclenchant un soupir de satisfaction/libération chez son voisin de lit. Les hostilités étant ouvertes, Jérôme s’activa : sa main partit flatter le pieu adverse qui présenta les armes aussitôt. Cette masturbation commune n’était qu’une mise en jambe, en quelque sorte. Pressé, le vieux insinua une main entre les cuisses du jeune homme. Du bout de l’index, il titilla la peau très excitable du périnée, démarrant son périple haut sous les couilles pour l’achever dans la raie culière aussi loin que la longueur de son doigt le lui permettait. Pendant ce temps, de ses doigts libres, il pétrissait les testicules. Christophe, ...
... satisfait de la tournure que prenaient les événements, avait abandonné la queue de peur d’une éjaculation impromptue et laissait sa main jouer aux boules. Il se tourna sur le côté : ainsi sa bouche put chercher (et trouver) un téton (puis un autre) à déguster tandis que sa main (la gauche pour être précis) peignait cette forêt de poils. Du pubis jusqu’au cou, ce n’était qu’une vaste étendue à débroussailler. Cette pelouse grisonnante le rendait fou : abandonnant les tétons, il lécha le torse. Déversant sans compter sa salive, il lissait cette toison. De nombreux poils demeuraient coincés entre ses dents mais il n’en avait cure. La main du vieux ouvrit ses fesses, son index curieux eut une surprise. La facilité avec laquelle il s’introduisit en ce lieu consacré lui indiqua qu’il n’effectuerait pas un voyage inaugural. Le majeur le rejoignit facilement. Manifestement, de nombreux visiteurs les avaient précédés. Les deux compères s’enfoncèrent profondément, entamèrent de souples va-et-vient qui déclenchèrent une activité frénétique de la langue de Christophe sur son ventre. Jérôme dut accomplir des gestes acrobatiques pour ne pas déculer ses doigts alors que Christophe tentait d’introduire son visage sous son aisselle pour bouffer cette touffe plus dense et plus odorante. Ces fragrances viriles d’homme qui n’utilisait ni douche, ni déodorant l’enivraient. Il lui fallait autre chose. Complètement oubliée, la douleur à la cheville, il se contorsionna, posa ses lèvres sur le gland ...