Corps fous
Datte: 31/10/2018,
Catégories:
fh,
inconnu,
plage,
hotel,
amour,
Oral
pénétratio,
... en grec aux deux personnes de la réception. Tout ce que je constate est qu’elles regardent toutes dans ma direction, et que ça me chiffonne de ne pas savoir ce qui se raconte. Il semble parler grec de façon naturelle, son accent est presque identique à celui des gens de l’hôtel. Puis il revient vers moi : — C’est bon, tout est OK.— Comment vous avez fait ?— Chut, c’est top secret ! Je n’en saurais pas plus. Je passe ensuite une heure en sa compagnie, en tête à tête, dehors sous une pergola tandis que nous mangeons. Je sens que certains regards jaloux de femmes sont braqués sur moi. Au départ, j’avais cru à une illusion, mais, en me retournant diverses fois, j’ai eu confirmation. Sur le coup, j’étais presque tentée de leur dire : vous en voulez, alors prenez-le. Mais, finalement, là maintenant, je n’aime pas trop cette idée, je me sens devenir possessive, ce qui m’alerte. Après le repas, il m’accompagne à nouveau jusqu’à ma chambre ; il fait chaud, j’ai une furieuse envie de m’allonger et de faire la sieste ! Nous sommes de part et d’autre du seuil, je prends la parole : — Merci pour tout, mais là, je suis vraiment fatiguée ; je ne comprends pas pourquoi d’ailleurs, mais je suis vannée !— OK, je vous laisse, mais je viendrai vous chercher une fois que vous serez à nouveau en forme. Vous voulez combien de temps ?— Donnez-moi deux heures, je pense que ça ira. Je vous fais remarquer que vous ne me laissez toujours pas le choix.— Désolé, mais je suis ainsi avec les femmes qui me ...
... plaisent trop !— Allons donc, vous n’êtes pas désolé. Ça vous amuse même ! Il sourit, lève les yeux au ciel, puis répond : — Bien vu !— Merci quand même !— De quoi ?— De me laisser me reposer !— C’est purement… comment dire… tactique : vous serez ainsi en pleine forme et je pourrai encore mieux profiter de vous !— Vous êtes incorrigible ! Je me penche pour déposer un furtif baiser sur ses lèvres. Il est très étonné, c’est à moi d’être amusée. Avant qu’il ne dise quelque chose, j’explique : — Juste ma façon de vous remercier. Et de vous faire attendre ! Puis je referme la porte. J’entends ses pas s’éloigner. C’est bon, il joue le jeu. Je me demandais justement s’il allait plus ou moins forcer ma porte. Je m’allonge sur le lit, je ferme les yeux presque aussitôt et je m’endors. --ooOoo-- Au réveil de ma sieste, j’ai la stupeur de le voir assis sur le lit de Laurine, en train de me regarder. Je sursaute, je manque de me casser la figure en voulant me lever : — Mais… mais vous faites quoi ici ?— Vous savez que ça fait trois heures ou presque que vous dormez ?— Vous vous fichez de moi ?— Regardez votre montre. Il a raison : ça va faire presque trois heures que je dors. Je me cale contre l’oreiller : — OK, j’avais dit deux heures, mais ce n’est pas une raison pour entrer dans ma chambre !— Je suis venu voir s’il n’y avait pas un problème quelconque. C’est tout. Savez-vous que vous êtes très mignonne quand vous dormez ?— Vous êtes impossible comme type ! J’espère que vous n’en avez ...