Corps fous
Datte: 31/10/2018,
Catégories:
fh,
inconnu,
plage,
hotel,
amour,
Oral
pénétratio,
... je défais le bouton de son pantalon et je plonge mes doigts dans son caleçon ! Surpris, il donne un coup de guidon, il continue à rouler, mais plus doucement. Je sens sa tige toute chaude, tout palpitante. Lentement, mais sûrement, je fais le tour du propriétaire en faisant glisser mes ongles le long de sa hampe puis en évaluant la circonférence. Je plonge même plus bas, comme pour aller soupeser ses attributs velus. Mon diagnostic est favorable : il y a visiblement à boire et à manger, sans que ça soit monstrueux. Tout ça m’a l’air d’être normal, et c’est comme je les aime ! Les gros machins et moi, ça fait deux ; j’ai déjà donné… Ainsi rassurée, je me sens de plus en plus mutine : de toute ma connaissance en la matière, je commence à flatter sa tige frémissante, je la frôle, je la caresse, je la cajole. Je veux la sentir gonfler entre mes doigts, j’imagine même qu’elle jouisse sous mes câlineries ardentes et qu’elle en mette plein son caleçon ! Je l’entends qui respire bruyamment ! À chacun son tour ! Ce sera ma petite vengeance personnelle ! J’ai capturé à pleine main sa barre après l’avoir mis à l’air libre. Avec application, je le masturbe méthodiquement, sans répit, alternant les va-et-vient lents et amples, puis les secousses brèves et rapides. Mon autre main est déjà plongée dans ses poils bouclés, massant les deux boules soyeuses qu’elle a pu dénicher. J’essaye d’y mettre toute ma science, toute mon ardeur. Tout cela m’amuse beaucoup et me trouble énormément. ...
... Visiblement, il n’y tient plus. Un bref coup de guidon et nous sortons du chemin. Je ne fais pas très attention à ce qui nous entoure, je suis trop absorbée par mon affaire, par ma volonté de le faire jouir ! Le scooter s’arrête ; vicieusement, je m’active encore plus autour de sa bite gonflée à bloc, de ses couilles prêtes à exploser, je le serre, je le branle par petits coups, je le branle en jouant des doigts, je lui masse délicatement, suavement les boules, je tords sa tige, la fais pivoter, onduler, virevolter ; je sens toutes ses palpitations, ses battements, ses pulsations intimes et délicates… Je sens et j’apprécie, je savoure cet instant, celui qui est juste avant, tout juste avant… Un cri, un long raidissement, un tremblement, puis, comme au ralenti, une gerbe blanche qui s’écrase au sol, dans les herbes vertes, face à la mer. D’autres tremblements moins puissants, d’autres éruptions moins vigoureuses, son souffle court, son corps qui vibre légèrement, sa tige qui s’affaisse petit à petit, molle, épuisée, vidée… Je descends du scooter, je suis à la fois contente de moi et terriblement excitée. La forêt derrière nous, la mer devant, l’herbe étonnamment verte à nos pieds, le soleil ardent par-dessus, tout ça est si irréel, singulier. Lui aussi est descendu du scooter qui gît à présent dans l’herbe, il s’adosse à un arbre, comme anéanti, son sexe désempli. Sans aucune hésitation, je vais vers lui, je m’agenouille, je lève la tête vers ses yeux étonnés, un dernière regard, ma ...