1. L'étrange Mr Faust - 5 -


    Datte: 31/10/2018, Catégories: Hardcore, Gay Première fois

    ... sienne. Elle sursauta comme si sa peau eut été brûlée.Je sentis alors les vannes de sa libido s’ouvrir.De la même façon que son homme, quelques minutes auparavant, je l’entraînai dans la chambre.Elle se jeta sur moi et chercha mes lèvres sans qu’aucun mot ne soit prononcé entre nous.Sa respiration était haletante, sa langue douce se mêla à la mienne.— Prends moi ! Fais de moi une femme ! Me susurra la vierge délurée.Sous ses yeux enfiévrés, je descendis lentement ma braguette.Hypnotisée, elle regarda mon chibre surgir de mon caleçon comme le diable jaillit de sa broîte.Telle un automate, elle s’en approcha, le saisit et le manipula avec soin.Je soulevai , non sans difficultés, sa longue robe blanche.Elle frissonna quand mes doigts parcoururent sa cuisse, passant de la soie de ses bas à sa peau nue.Je trouvai sa culotte et je m’y insinuai.Je sentis son abondante toison moite et abordai sa fente dégoulinante.Mon index titilla son clito et elle poussa un râle de bonheur, son bassin, comme mû par sa propre volonté, allant à l’encontre de ma caresse.Je la fis se positionner comme son époux auparavant.Je relevai sa traîne et eut la charmante vision d’un cul bien rebondi , tout juste caché par un bout de tissu en dentelle blanche.— Vas y doucement . Eut elle la lucidité de me dire.— Je vais te déflorer en douceur ma belle.J’écartai le dernier rempart de sa vertu et humidifiai ma verge au contact de ses fluides.Elle se trémoussa d’aise.Je tâtonnait un peu avant de trouver la cible ...
    ... et de m’y introduire d’une poussé lente et continue .Je forçai le passage de son hymen et elle poussa un petit cri de douleur.— Ça va ma douce ?— Oui, ne t’inquiètes pas, vas y, continue .. me répondit elle.J’entamai donc mes va et viens dans sa chatte , la faisant ronronner de plus en plus fortement.Elle commença à prendre tant de plaisir que sa mouille, mêlée de sang, coula le long de ses bas blancs jusqu’alors immaculés.Continuant ma besogne, je me penchai vers elle et flattai son clitoris.Cette double excitation lui fit totalement perdre la tête et elle hurla son bonheur sans que rien ne puisse l’empêcher.Sa belle mère, la cherchant depuis un moment, vint à passer dans le couloir.Attirée pas ces cris elle poussa la porte et nous découvrit en plein coït.Son visage blêmit tout d’abord puis elle se mit à vociférer son courroux tellement fort qu’elle ameuta une partie de la noce qui nous surprit à son tour.Je n’avais pas arrêté mes efforts et mon amante, emportée par ses sens , n’avait pas esquissé le moindre geste .Une belle pagaille s’en suivit et , quand le cocu, rouge de colère , de jalousie et de honte, la gifla, son beau frère vint la venger .La fête tourna au pugilat entre les familles, les hommes échangeant coups de poings et coups de chaises, les femmes se crêpant le chignon à qui mieux mieux.Personne n’osa s’en prendre à moi et je m’éclipsai discrètement , arrachant de mon bras, jetant à terre, l’épousée qui voulait me suivre.Le lendemain, la presse relatait le fait ...