1. Alice, femme trompée, femme libérée (1)


    Datte: 01/11/2018, Catégories: Hétéro

    ... dressing en face de la chambre pour attraper les fringues que j’avais laissé sur ma valise et me changer. Le timing serait serré, car lorsque je les entendis rentrer, je n’avais même pas encore eu le temps de remettre ma petiteculotte. Et il fallait que je me dépêche car je les entendais monter l’escalier pendant que j’avais encore les seins à l’air. J’étais d’ailleurs toujours dans cette tenue lorsqu’une pensée me frappa : Mais pourquoi montent-ils si vite en direction de la chambre? N’ayant pas le temps d’y réfléchir plus, je me cachais temporairement au milieu des fringues pour ne pas me faire repérer, craignant d’avoir compris ce qui se tramait. Ils passèrent devant le dressing comme des fusées, et la tenue d’Ève ne laissait aucun doute. Son débardeur déjà baissé jusqu’à la taille pendant qu’elle avait mis la main au panier de mon mari permettaient de deviner ce qu’allait être la suite. J’aurais pu, j’aurais dû réagir, mais je restais plantée là, comme une conne, ne sachant pas quoi faire. Et c’est ainsi que je suis restée tout le long. Amorphe, comme si je ne contrôlais plus mon corps. Et pas besoin de voir, ce que j’entendais me brisait le coeur... A peine semblèrent-ils arrivés dans la chambre qu’elle passa à l’étape supérieure : "Bouffe-moi la chatte, je n’attends que ça depuis ce matin". Non seulement elle se tapait mon mec, mais ça n’était pas la première fois qu’elle le faisait cette greluche. Ses gémissements ne laissaient d’ailleurs aucun doute sur le fait ...
    ... qu’il n’avait pas tardé à s’activer et qu’elle appréciait cela. Après 5 minutes de ce traitement qui me parurent une éternité, je les entendis se déplacer, probablement pour aller sur le lit. J’aurais pu en profiter pour m’échapper, hurler, agir, faire quelque chose quoi. Mais toujours la même chose : Impossible de faire obéir mon corps, comme si ce dernier voulait s’infliger ça en entier pour je ne sais quelle raison. Et en effet, ils étaient sur le lit, vu comment j’entendais celui-ci grincer par la suite. Je ne saurais pas dire quelles étaient leurs positions, ni même leur nombre, mais vu comment l’autre gourdasse gueulait "putain, elle est bonne ta queue", "Oui, mets la moi encore", "C’est tellement meilleur qu’avec Cédric quand tu me baises" et bien d’autres insanités, ils y mettaient du coeur à l’ouvrage. Et ça avait l’air parti pour durer. Pas besoin d’entendre l’un des deux dire qu’ils baisaient ensemble depuis longtemps pour le deviner, et à mon avis, le commencement correspondait à la séparation d’Ève et Xavier, date à partir de laquelle David avait commencé à être de plus en plus distant au lit avec moi. C’est alors que j’entendis quelque chose qui me blessa encore plus que d’être trompée, fut-ce par une fille plus moche et grasse que moi. Elle avait envie de se faireenculer. Ça, je pouvais comprendre, la queue fine et longue de David semblait calibrée pour cela. Mais David me l’avait toujours refusé, trouvant cela sale. Or là, je n’entendis aucune réponse de sa part. ...