1. LE TÉLÉPHONE


    Datte: 01/11/2018, Catégories: Anal Première fois Humour,

    ... voie dans ce superbe cul, lui avait redonné de la vigueur. Elle frétillait comme un poisson. Je mouillai abondamment son anus avec du liquide que je prélevai de son vagin. J’y introduisis un doigt pour lubrifier l’intérieur et lui demandai de guider la manoeuvre d’introduction du pénis avec sa main. Elle prit ma queue dans sa main et positionna le gland à l’entrée du cul, sur sa rondelle. Un léger frisson lui traversa le corps ; probablement par crainte de la douleur. Elle tira le membre légèrement vers l’intérieur pour me demander d’y aller franchement. Ce que je fis en une puissante poussée du bassin qui élargit fortement l’anneau qui protégeait l’entrée et laissa le gland et tout le sexe pénétrer jusqu’au fond. Elle étouffa un cri de douleur.- Salaud, tu m’as explosé le cul ! Doucement pour la suite, sinon tu vas me déchirer !- Ne t’en fait pas ! Tu verras que tu t’habitueras vite ! Tu y prendras même beaucoup de plaisir ! Mets deux doigts dans ta chatte et caresse la pendant que je t’encule; tu verras c’est délicieux.Ce qu’elle fit sans attendre. Elle se masturbait avec délectation, pendant que je j’empalai son cul sur mon engin qui n’arrêtait pas de grossir, tant il se sentait bien. Elle criait que c’était bon.- Continue ! ne t’arrête pas ! encule moi fort !Au lieu de continuer, je m’arrêtai et sortit de son cul ; lui fit retirer sa main de sa chatte et y introduisit l’engin encore tout chaud et gluant. Elle rouspéta au moment où je quittai son anus, mais poussa un ...
    ... gémissement de plaisir en me recevant dans son vagin tout visqueux, chaud et serré. J’entrepris de la baiser en force ; avec de grands mouvements de va et vient de plus en plus rapides ; Je sentis qu’elle allait jouir. Je m’arrêtai, ne voulant pas que cela s’arrête tout de suite.- Attends ! lui dis-je. Ne jouis pas encore ! Faisons durer le plaisir !Je ressortis de son con pour aller dans son cul qui est resté ouvert et qui attendait d’être fermé par mon gros bâton. J’empalai son cul une fois encore sur mon gros bâton et entrepris de la défoncer tout en lui redemandant de se masturber en même temps. Plusieurs fois nous reprîmes la manœuvre jusqu’au moment où elle se mir à crier qu’elle n’en pouvait plus ; qu’il fallait qu’elle décharge ! Qu’elle ne pouvait plus se retenir ! Que c’était trop bon ! Qu’elle aimait être enculée ! Qu’elle adorait baiser comme cela avec un homme qui sait faire jouir les femmes !- Je jouis ! Je jouis ! Je jouis ! répétait-elle, pendant qu’elle déchargeait.Ses cris, les mouvements furieux de va et vient de mon sexe simultanément dans un trou puis dans un autre m’ont amené au bord de la syncope. J’allais m’évanouir à force de plaisir. Je déchargeai d’un seul coup, je ne sais dans lequel des trous, une grosse giclée de foutre brûlant en poussant un râle de mourrant. Je sortis mon sexe du trou dans lequel il avait déversé pour l’introduire dans l’autre pour lui donner sa part de foutre. Rassasié, je restai le sexe tout ramolli dans la même position ; Je ne ...