Une initiation à la cuisine japonaise pleine de surprises
Datte: 01/11/2018,
Catégories:
2couples,
couplus,
inconnu,
caférestau,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
Oral
nopéné,
jeu,
yeuxbandés,
init,
entrecoup,
... salon. Le serre-tête avait disparu et les cheveux, soigneusement repeignés, donnaient un tout autre visage à Béatrice. Elle avait revêtu un déshabillé noir en soie au travers duquel on devinait une paire de seins de taille moyenne, mais bien fermes, et dont les tétons pointaient sous la soie, un string noir, un porte-jarretelles et des bas également de soie noire. Une créature de rêve. Était-ce la même femme ? Nos troubles, le mien et celui d’Hélène, étaient visibles et tout à fait compréhensibles. Assis sur la même banquette, nous ne savions quelle attitude prendre. Bernard commenta. — Tu es superbe, ma chérie. Vous voyez, il faut savoir faire la rupture. C’est notre petit plaisir quand nous sommes en charmante compagnie. Tiens, ma chérie, j’ai ouvert cette bouteille de fine Napoléon que tu aimes tant. Buvons à la santé de nos amis. Béatrice alla s’asseoir sur les genoux de son mari, qui s’était installé confortablement dans un fauteuil club en cuir. Une fois que les verres furent vidés, Bernard suggéra à sa femme de faire les honneurs de son vestiaire à Hélène, afin qu’elle puisse à son tour se décontracter. — Vous n’avez pas d’objection, je suppose, commenta-t-il en se tournant vers moi. Les différentes fêtes m’avaient donné l’occasion d’offrir à ma compagne une petite panoplie de vêtements dits coquins : soutien-gorge demi-seins, petites culottes fendues, collants ouverts, porte-jarretelles sexy, … Mais tout ceci était réservé à notre intimité et Hélène ne s’était jamais ...
... montrée, fut-ce auprès de nos meilleurs amis. — Moi, non. Mais c’est à Hélène de décider, répondis-je hardiment.— Et qu’en pense notre chère Hélène ? Béatrice ne lui laissa pas le temps de répondre, la prit délicatement mais fermement sous le bras et l’emmena dans sa chambre. — Allez, Gérard, pendant que votre femme se fait belle pour nous, buvons un coup. C’était reparti pour la fine Napoléon, cependant que Bernard mettait une bouteille de champagne à rafraîchir dans un seau à glace. — Nos belles femmes méritent bien ça. La fine Napoléon commençait à nous enivrer quand revint Hélène, accompagnée par Béatrice. Elle avait troqué sa petite robe cocktail beige contre un long déshabillé blanc en soie et une simple petite culotte blanche en dentelles. La transparence du déshabillé entrouvert mettait en valeur la paire de seins de ma compagne. Je dois avouer que je suis fier de ses seins, volumineux, un peu tombants, juste ce qu’il faut, agrémentés de deux belles aréoles brunes sur lesquelles règnent deux tétons roses qui ont toujours fait mes délices buccaux. — Gérard, je te félicite, tu permets que je te tutoie, ta femme est su-per-be. Buvons de ce délicieux champagne pour l’honorer. En guise de toast, je saluais à mon tour la beauté de Béatrice en ajoutant que je n’aurais pas imaginé une aussi jolie femme lors de nos premiers échanges au restaurant. — Nous aimons beaucoup surprendre, commenta Bernard, et la vie serait tellement monotone si nous étions toujours les mêmes. Tiens, ...