Premier emploi commercial (1)
Datte: 01/11/2018,
Catégories:
Erotique,
... les pieds avec des talons ». Il désignait de loin, d’un geste large, chaque partie avec légèreté et décontraction, ce qui chauffait les sens de la demoiselle. Sally avait été surprise de ce rapprochement car, même si elle avait remarqué les regards de Laurent, il était toujours resté distant. — Vous verrez avec ma secrétaire pour les détails, ajouta-t-il, elle est d’excellent conseil et vous pouvez lui faire autant confiance qu’à moi. Troublée par cet affleurement soudain de sensualité, elle passa dans le bureau contigu où la secrétaire lui apprit qu’elles devaient se rendre ensemble dans les magasins pour compléter sa garde-robe et se conformer à la ligne du service. Le mercredi, Marie-Ange, la secrétaire, lui expliqua, tout en déambulant avec elle dans un grand magasin parisien : — Pour les seins, sois tu mets un décolleté, sois une robe près du corps qui moule ta poitrine ; pour les fesses, il faut qu’on les devine sous ton vêtement ; pour les jambes – les tiennes sont superbes – bien évidemment des bas et pour les pieds, des talons mais pas n’importe lesquels, des sandales à talon, des stillettos, plutôt de la finesse en somme. Tous les matins en arrivant, pérécisa-t-elle, tu iras dire bonjour au chef et tu lui montreras ta tenue. Je te conseille d’avoir au bureau une paire de chaussures que le patron a aimé car la dernière fois que les chaussures de Claire ont déplu au chef, elle a dû travailler toute la journée pieds nus. Elle a dû prétexter qu’elle avait mal avec ses ...
... nouvelles chaussures, mais elle s’est fait remarquer partout où elle passait et le soir, elle avait la plante des pieds noire de crasse. Comme Sally imaginait la scène, elle sentit un pincement intérieur et trouva que le chef exagérait. Mais elle appréciait son job et trouva normal de respecter les consignes. — Tiens, essaye cette robe, lui dit Marie-Ange, je pense qu’elle t’ira bien. En la passant, Sally eu du mal à l’ajuster : elle arrivait un peu haut à mi-cuisses mais quand Sally la tira vers le bas le décolleté découvrit les tétons. Cette robe était à la limite de la décence et Sally n’osait pas sortir de la cabine d’essayage. — Alors, ça va ? interrogea sa collègue. — Eu… Marie-Ange écarta le rideau, un peu énervée : — Fais-pas ta mijaurée, c’est un peu plus court que ce que tu portes d’habitude mais il faudra s’y faire, le patron est exigeant, viens par là qu’on te voit complètement. Et elle la tira doucement hors de la cabine. — Très bien, c’est ce qu’il faut pour le service, tu verras, tes clients seront contents, dit-elle en la faisant tourner sur elle-même. Par contre ta culotte est visible, enlève-la, ça fait vulgaire. N’osant trop rien dire, Sally entra à nouveau dans la cabine et descendit sa culotte. Lorsqu’elle ressortit, elle eut l’impression d’être nue, cette robe découvrait plus qu’à l’accoutumée ses attraits et l’absence de dessous la troublait, elle sentit l’humidité de son sexe exposé aux courants d’air. zdpzyyvc — Parfait ! approuva Marie-Ange, il faut ...