D'hier à maintenant : Les vacances (1) - Histoires de Sexe

D'hier à maintenant : Les vacances (1)

... Nous nous lavâmes chacun de notre coté, puis nous nous essuyâmes et nous habillâmes. Sur la route du retour au mobile-home, j’abordai le sujet. — Alors ça t’a plu ce que tu as vu ? — Toi d’abord, me répondit elle avec un air faussement gêné. — Je pense que ma queue a parlé pour moi, lui rétorquai je. — Non je veux des mots, insista t-elle. Je veux savoir en détail ce que tu penses de mon corps. — D’accord. Alors franchement c’est le corps le plus moche que j’ai jamais vu, répondis je ironiquement. — Arrête de te foutre de moi, s’exclama Armelle en me poussant. Sérieusement s’il te plaît. — Sérieusement ? Tu es super jolie et bandante. Tes seins sont magnifiques. Ton cul donne envie d’être attrapé et ta chatte est un appel au sexe. A ton tour, maintenant. — Tu ne le sauras pas, me taquina t-elle. J’allais m’offusquer quand je remarquai que nous arrivions au mobile-home. Le reste de la journée, nous restâmes très proches; J’avais des flash de cette douche et des érections très fréquentes en y pensant. Le soir dans mon lit, j’en profitai pour mebranler en imaginant ce que je lui aurai fait. Le lendemain et le reste de la semaine, notre petit manège continua. Nous prenions toujours nos douches ensemble, tout en se regardant mais sans toucher. Je ne sus qu’à la dernière journée, ce qu’elle pensait. — Tu veux savoir ce que je penses de toi, me lança t-elle alors que nous nous rincions. — Oui, car ça fait bientôt une semaine que nous faisons ça tous les matins, et je ne sais ...

... toujours rien. D’ailleurs je me suis branler plusieurs fois en pensant à toi. — Tu te branles en pensant à moi ! s’exclama t-elle. — Ben quoi ?! Tu me faissaliver depuis plusieurs jours. Il faut qu’à un moment ou un autre, j’évacue le trop plein. Cette réflexion la fit rire. Encore une fois j’eus au plus beau sourire que je connaissais. — C’est la première fois que j’entends un mec me dire qu’il se branle en pensant à moi. — Désolé mais je préfère être franc. Donc est ce que ça te plaît, ce que tu vois ? — Beaucoup, me dit elle en se mordant la lèvre inférieure. Même mon copain n’en a pas une si grosse. C’est même étonnant de voir un mec avec sa queue de raser. Et je dois t’avouer que plusieurs fois, je me suis retrouvé toute mouillée, en pensant au bien qu’elle me ferait. — Mais pas d’attouchement, ajoutai je. — Oui, répondit elle un peu déçu. Est ce ça te tenterait de lever l’interdiction, que pour une fois ? Ma queue banda plus dur que jamais en sa présence. Je me demandais si c’était une hallucination acoustique ou si j’avais bien entendu. Cette fille, super canon, me proposait de la caresser. Et d’en faire de même en retour. — Tu es sûr que c’est ce que tu veux, lui demandais je. — Oui, me dit elle en se collant à moi. Nos lèvres se collèrent. Je sentis sa langue se frayer un chemin pour venir caresser la mienne. Mes mains saisirent ses fesses. Comme je le pensais, elles étaient douces et fermes. Je quittai sa bouche pour descendre dans son cou et léchai ses tétons bien dure. ...