1. Orage en montagne


    Datte: 02/11/2018, Catégories: fhhh, couplus, inconnu, uniforme, forêt, anniversai, Masturbation préservati, Partouze / Groupe yeuxbandés,

    ... jouissance. Elle accueille les coups de boutoir de l’homme avec de petits cris plaintifs. Interrompant le long va-et-vient qui la conduisait tout droit vers le septième ciel, son partenaire se cale profondément en elle avant de s’adresser à tous, mais plus particulièrement à l’un de ses camarades : — Moi non plus je ne suis pas égoïste… Martin, à toi, elle est prête ! Tous ensemble, les autres militaires scandent des encouragements : — Vas-y Martin ! Vas-y ! Vas-y !… Avant d’abandonner la grotte trempée qu’il vient de conquérir, son partenaire du moment s’adresse à Aline sur un ton narquois : — Tu sais pourquoi on l’appelle Martin ? Parce qu’il est monté comme un âne…— Alors allons-y, qu’est-ce qu’on attend ? lui rétorque Aline d’une voix vibrante d’impatience. L’énorme manche vient cogner au fond de sa chatte en lui arrachant un cri de plaisir et de douleur mélangés puis s’immobilise en elle. Christophe a suivi avec une fébrile appréhension la progression de la colonne de chair qui, centimètre par centimètre, a pris possession de la chatte d’Aline. Son cœur bat si fort qu’il lui semble que sa poitrine va exploser. L’émotion d’Aline est extrême, si bien que lorsque l’homme semble se retirer, elle trouve à peine la force de murmurer d’une voix soumise : — Reste, je veux te sentir en moi ! L’excitation du militaire est si forte qu’il se retire entièrement pour mieux l’investir à nouveau, cette fois-ci de manière plus volontaire. Aline mouille abondamment et la pénétration en ...
    ... est plus facile. Après s’être immobilisé en elle quelques secondes, il en ressort à nouveau pour la prendre encore plus énergiquement. Une boule de feu dévore les entrailles d’Aline. Elle ne sait plus si elle a mal, si elle va mourir de plaisir ou si son ventre va exploser de jouissance. Sa chatte est tout inondée, ses seins tendus à craquer. La cadence s’accélère, les frottements du pieu qui la pilonne la brûlent, ses chairs sont écartelées. Elle émet un grognement à chaque pénétration du sexe qui vient cogner au fond d’elle. Ne pensant qu’à son propre plaisir, l’homme la traite comme une femelle offerte à son bon vouloir. Chaque claquement des hanches qui viennent régulièrement heurter ses fesses donne à Aline le sentiment d’être l’objet d’une convoitise animale. Elle se surprend à aimer ça. Les mains de l’homme qui la baise s’incrustent dans ses hanches. Le pieu la laboure consciencieusement, régulièrement, inexorablement. Elle a un premier orgasme, puis s’effondre sur les matelas, pantelante. Mais l’homme n’en a pas terminé, il l’attire vers lui et la prend de nouveau, sans plus de ménagement. À chaque assaut, elle crie son plaisir qui revient, sa chatte dégouline encore plus. Lorsque l’homme accélère brutalement et s’abandonne en elle dans un râle de satisfaction, le raz de marée d’un deuxième orgasme, encore plus fort que le précédent, submerge Aline. Elle hurle de long cris rauques et la tornade de jouissance s’arrête brusquement, la laissant sans voix. Christophe est ...
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