Orage en montagne
Datte: 02/11/2018,
Catégories:
fhhh,
couplus,
inconnu,
uniforme,
forêt,
anniversai,
Masturbation
préservati,
Partouze / Groupe
yeuxbandés,
... Christophe ? Ça va ? Tu n’as rien ?— Mais non je n’ai rien, pourquoi veux-tu que j’aie quelque chose ? Je voulais juste te dire que je serai là dans un quart d’heure car j’ai dû aller plus loin que prévu pour trouver du bois. J’avais peur que tu t’inquiètes… Elle se met un peu à l’écart et répond à voix basse avec un débit de paroles saccadé : — Tu sais, un groupe de militaires vient d’arriver, je suis seule avec eux, ils viennent de se laver et sont à poil à côté de moi… s’il te plaît reviens tout de suite !— Tu es sûre ? Je n’ai pas encore ramassé assez de branches…— S’il te plaît…— OK, j’arrive tout de suite mais… ne t’inquiète pas, tu ne risques rien ! Je dois même te dire que je trouve cette situation plutôt excitante !— T’es un vrai cochon, tu ne changeras jamais… allez, dépêche-toi ! « Lui, c’est un cochon, mais moi, j’ai hyper chaud… » pense Aline en raccrochant. Elle reste quelques secondes comme hypnotisée par les mouvements des corps musclés qui se trouvent maintenant devant ses yeux. Toute à son émotion, elle n’avait pas remarqué qu’elle continuait à se rapprocher du ruisseau alors qu’elle parlait avec son mari. Comme elle se retrouve devant les militaires nus qui font des étirements pour atténuer les effets de la marche, elle tourne très rapidement la tête pour ne pas être prise en flagrant délit de voyeurisme. Elle ne voudrait pas que sa curiosité soit perçue comme une provocation et repart rapidement vers la cabane, les laissant à leur gymnastique. Mais, ...
... l’image émouvante de ces corps nus ne disparaît de ses pensées… Quelques minutes plus tard, elle entend des voix se rapprocher. Christophe apparaît, les bras seulement chargés de quelques morceaux de bois échangeant quelques mots avec les cinq hommes qui reviennent, eux, du ruisseau. — Vous n’avez trouvé que ça ?— Ouais, il n’y a pas beaucoup de bois mort dans le coin.— On va vous prêter main-forte et participer nous aussi avant qu’il se mette à pleuvoir. Christophe pose les branches sur le sol de la cabane et, lorsque son regard croise celui d’Aline, il lui trouve un air bizarre, un mélange d’anxiété mais également d’autre chose. Il s’adresse aux militaires : — Merci. Ma femme et moi allons chercher des brindilles pour allumer le feu. Chacun s’éloigne, partant dans des directions différentes alors que le tonnerre se met à gronder de manière menaçante. Aline, seule avec Christophe, en profite pour lui raconter son aventure tandis qu’ils ramassent des brindilles. Il lui confie en retour, qu’étant prévenu de la présence des militaires, il s’était approché d’eux sans faire de bruit et avait surpris leurs discussions qu’il lui rapporte avec délectation : — Elle est bien conservée la nana ! Je l’aurai bien aidée à se sécher !— Moi aussi ! Elle a bien quelques heures de vol, mais j’aime bien les quinqua, c’est moins compliqué et… surtout, elles savent s’y prendre, on tourne pas autour du pot pendant deux heures ! Surfant sur l’occasion qui lui est offerte, Christophe poursuit : — C’est ...