Dernière soirée
Datte: 02/11/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... visage de sa partenaire et il ne se refuse rien. Il présente au plaisir ce qui est bon pour lui. Sa bite va et vient entre les lèvres, ses testicules sont offerts à la langue jouissive, et même son anus, qu’elle pointe de sa langue après l’avoir soumis au supplice de l’approche circonvolutionnaire de ses papilles. Tout en le suçant intensément, elle lui introduit un doigt trempé de ses propres sucs et caresse son point P. Le mec va exploser, c’est sûr. Il va gicler de superbes rasades de foutre chaud sur sa langue, sa bouche, débordant sur sa joue de traces blanches qu’elle s’empressera de récolter d’un doigt dégustateur… Pas du tout. Telle une lionne, ma belle panthère vient de lâcher ma queue prête à lui gicler son bonheur et se met à quatre pattes sur le lit, la culotte défaite, les orifices aussi beaux que le port d’attache d’un marin miraculé de la tempête, un refuge. Tes fesses écartées, blanches entre tes sous-vêtements noirs, toutes ces promesses des sillons sombres… La baise est sauvage. Féroce. Je te saisis par tes épaules, ma queue va ...
... et vient en toi comme un marteau-pilon. Pénétration totale, absolue. Mes couilles volent entre tes lèvres jusqu’à ton clito, à fond, on crie comme des bêtes, je te défonce, je mate ton anus dilaté, je délire de le baiser aussi, c’est fou comme je veux tout ! - Prends-moi par le cul, tu halètes - Transmission de fantasmes, je n’ai pas le temps de répondre Sans doute est-ce le fait que tu m’aies susurré ces mots avec tant d’envie dans la voix ? J’ai giclé comme un dément dans ton vagin, plein de sperme dans toi et j’ai dû bramer comme un cerf, je ne m’en souviens plus trop, j’étais dans un autre monde. Des saccades brulantes qui n’en finissaient plus d’arroser ton dedans ! Démentiel ! Tu m’avoueras plus tard, collés-serrés sous la couette, que tu as pris un pied phénoménal, un orgasme vaginal intense pendant que je jouissais en toi. La parenthèse se referme. Demain seront les trains de la séparation. Nous y monterons légers et pleins de papillons, les réserves d’amour remplies à bloc. Puisque nous sommes qu’étincelles autant faire un brasier ! Non ?