1. Ma rebelle superbe en exquise soumise, le temps d'une soirée


    Datte: 02/11/2018, Catégories: cadeau, amour, fsoumise, hdomine, contrainte, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation Oral fgode, fdanus, jouet, sm, attache, BDSM / Fétichisme yeuxbandés, fouetfesse, init,

    ... évidemment, d’autant qu’il faut être clair, mon envie n’est pas de la brutaliser, jamais, mais au contraire d’ajouter des sensations plus piquantes à nos ébats, avec toujours comme seul objectif de la faire jouir encore plus fort, plus longuement. En réalité, j’ai surtout envie d’avoir raison, ce qui au quotidien est loin d’être systématique avec elle. Pour corser le jeu, je lui dis souvent que de toute façon, je sais qu’un jour, elle me le demandera elle-même. Rires et dénégations fermes sur le ton de « tu peux toujours courir » sont bien sûr, toujours au rendez-vous, mais qu’importe, tout cela est aussi un jeu auquel nous prenons beaucoup de plaisir, l’un et l’autre. Alors pourquoi s’en priver. Imaginez alors ma surprise quand, un beau matin, alors que Sabrina était en déplacement fort loin et depuis bien trop longtemps à mon goût, je reçois d’elle ce message en guise de réveil : Est-ce la lecture du romanLes cinquante nuances de Grey que j’ai pris soin de lui offrir avant son départ, qui a été le catalyseur de ce changement si profond ? J’ai l’impression que l’auteur a été beaucoup plus convainquant que moi. Mais passons sur ce détail. L’heure du rendez-vous approche, je ne veux pas qu’elle soit déçue, je sais ce que cette proposition lui a coûté, je sais l’ampleur de son geste, il est hors de question de ne pas accéder à sa demande. Pourtant, si le jeu du verbe est facile, le passage à l’acte, paradoxalement, ne sera pas si simple pour moi. J’aime Sabrina. Par son geste, ...
    ... elle se donne entièrement à moi, plus complètement que jamais, je mesure parfaitement l’énormité de la situation. Je dois préparer consciencieusement notre rendez-vous… —ooOoo— Nous arrivons ensemble, devant la porte de mon chez moi, je la serre très fort contre moi. Elle également. Notre étreinte est riche, dense de sentiments partagés. Nous prolongeons longtemps ce moment d’interconnexion intense. Je choisis de rompre le charme, presque à regret, je dois maintenant endosser mon rôle, nous entrons. D’une voix, ferme mais douce, presque timide, je lui dis : — Tu vas te déshabiller, ne garde que tes bas, ensuite tu iras m’attendre contre ce mur, et je te suggère de garder le silence, sauf si je t’invite à parler. Rapidement elle est prête, je la rejoins pour lui bander les yeux, j’aime la puissante sensation d’incertitude que le bandeau va faire naître en elle, d’autant, qu’elle ne sait rien du tout de ce qui l’attend (elle a bien pris soin de me dire qu’elle ne voulait rien savoir avant). Ainsi, entravée, elle n’aura d’autre choix que de se concentrer sur ses autres sens, et d’expérience, l’inquiétude et l’incertitude gagneront en elle. Pour ma part, je m’efforcerai d’accroître ses doutes et ses craintes. Par exemple, je prends en main la cravache que j’avais soigneusement préparée pour l’occasion, et je ne résiste pas au jeu d’en jouer dans le vide. Le sifflement caractéristique qu’elle produit parvient à ses oreilles, elle se mord les lèvres en écho au chuintement si lourd ...
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