1. Ma Vie Ch. 03


    Datte: 02/11/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    ... Quand je redescendis, elle m'attendait, son blouson sur les épaules et son sac à la main « Bon allez, on y va!» Je me pressais et nous sortîmes précipitamment. Elle partit dans sa voiture, moi dans la mienne et, en rentrant, je me persuadais que c'était la dernière fois que je voyais Carole et j'avais le cœur gros. Ma mère s'aperçut évidemment de mon malaise le soir au repas « Pascal, ça ne va pas? Tu n'as rien mangé » « Si maman, ça va » « Dis-moi ce qui ne va pas! » Je n'osais par lui dire ma détresse. « Non, je te promets, ça va, c'est juste que je me sens fatigué » Elle ne fixait l'ait perplexe. Je ne dormis pas cette nuit-là Le lendemain fut une sorte d'enfer. Je m'aperçus à quelle point j'aimais cette femme et à quel point elle me manquait. En rentrant le soir, j'évitais ma mère en disant que je n'avais pas faim, ce qui était vrai. Elle me rappela le surlendemain et m'expliqua qu'elle ne m'avait pas fichu à la porte mais qu'elle était réellement pressée. Nous nous revîmes le soir même et fîmes de nouveau l'amour. Je me retins un peu plus longtemps, mais je ne crois pas qu'elle ait eu d'orgasme ce soir-là. À partir de cette date, nous nous vîmes pratiquement tous les jours, faisant l'amour deux ou trois fois par semaine. Elle était de plus en plus directive, mais je trouvais ça naturel, compte tenu de notre différence d'âge et d'expérience. J'étais de plus en plus amoureux d'elle et m'émerveillais tous les jours qu'une femme comme elle s'intéresse à moi. Ça faisait ...
    ... quatre mois que nous étions ensemble quand ma mère l'invita à manger pour la rencontrer. Carole n'était visiblement pas ravie par cette invitation mais l'accepta de bon cœur. J'avais moi-même le cœur battant quand j'allais lui ouvrir la porte, me demandant comment la soirée allait se passer entre les deux femmes de ma vie. En fait, le courant passa immédiatement entre elle et ma mère et après un quart d'heure, tout en sirotant l'apéritif que je leur avait servis, elles papotaient en riant comme deux vieilles amies. Je me trouvais un peu exclu de leur conversation et cette situation me rappela celles que j'avais vécu avec Sonia. Pour ne pas interrompre leur prise de contact, je fis le service durant tout le repas, retrouvant à nouveau de vieux réflexes. Je débarrassais le table tandis qu'elles étaient passées au salon pour prendre leur café. Je les entendais parler, les éclats de rire de ma mère, les expressions d'étonnement de Carole, mais je ne comprenais le sujet de leur discussion. Quand je revins au salon, la conversation s'arrêta brusquement. Les deux femmes avaient les joues rouges et le regard brillant. Nous avions pas mal bu à table et ceci expliquait sans doute cela. Il y eut un instant de silence pesant quand ma mère relança un débat sur la nouvelle mode chez les jeunes de se faire tatouer ou percer, Carole n'était pas aussi négative sur le sujet et leur discussion reprit comme précédemment sur des sujets qui ne 'intéressait pas suffisamment pour que j'essaie de la ...
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