1. Ma Vie Ch. 03


    Datte: 02/11/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    ... s'y trouvait. Cela dura longtemps avant que je ne sente plus que le goût fade de sa mouille. Je commençai alors à passer ma langue sur son clitoris. Je la sentis frémir. Il ne fallut que quelques minutes avant qu'elle se contracte brusquement, poussant un long cri rauque et laissant couler dans ma bouche un liquide épais . À partir de ce jour, cette scène se renouvela plusieurs fois où Carole me fit ingérer mon sperme après que j'eus jouis en elle. L'humiliation et dégoût que j'éprouvais à cette tâche dégradante ne passa jamais et souvent, je crus vomir. Je n'ai jamais pu m'habituer au goût et à la consistance du sperme. Un soir que je lui fis part de mon dégoût, sa réponse fut assez sèche : « Quand je te suce ,moi, et que je te laisse jouir dans ma bouche, tu n'as jamais eu l'air de t'en plaindre » En fait, depuis presque un an qu'on se connaissait, elle m'avait fait deux ou trois fellations qui, il est vrai, furent des moments de pur bonheur. « Oui..mais c'est pas pareil » « Pourquoi ce n'est pas pareil? » « Je ne sais pas...tu es une femme » « Et alors, on est censée aimer le goût du sperme parce qu'on est une femme? » « Non, ...je ne sais pas...enfin je pensais que tu y prenais du plaisir aussi » « Eh bien dis-toi que j'éprouve du plaisir quand tu me nettoies et que tu me suces » « Mais moi non » Elle me fixa d'un air sévère. « Eh bien il faudra que tu t'y fasses » La conversation s'arrêta là, elle se retourna de son côté et ne tarda pas à s'endormir, me laissant à mes ...
    ... pensées . À partir de ce soir-là, ce fut systématique . Chaque fois que je jouissais en elle, elle venait se placer sur ma bouche pour que je la 'nettoie'...et mon dégoût ne passa pas. Jour après jour, Carole devint de plus en plus autoritaire Un samedi matin, je sortais de la douche, une serviette nouée autour de la taille. Carole était assise sur le lit, déjà habillée et me regardait avec un air bizarre. La serviette se dénoua et tomba sur le sol, je la ramassai et me dirigeai vers la commode pour y prendre des vêtements. « Non » Je la regardais sans comprendre. « Aujourd'hui, tu ne t'habilles pas, tu restes nu toute la journée » « ...mais, pourquoi? » « Parce que je te le dis » « mais enfin Carole, je ne peux pas faire ça » « Oh si tu peux » Je baissais la tête. Le ton autoritaire qu'elle avait pris ne laissait pas de place à la contestation, et à ma grande horreur, je sentis mon sexe commencer à bander. Cela ne lui échappa pas et elle me lança avec ironie » « Mais regardez-moi ça, ça le fait bander quand je lui donne des ordres...alors je continue, aujourd'hui, je vais faire des courses avec Marie. Toi, pendant ce temps-là, tu fais la lessive comme je t'ai montré et tu fais le ménage. Je veux la maison impeccable. Marie était sa meilleure amie. C'était une petite brune boulotte de 35 ou 40 , avec un visage agréable, Incompréhensiblement, plutôt de me mettre en colère, ces ordres injustes ne firent qu'accroître mon érection et c'est avec une immense honte que je me retrouvai ...
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