1. Faouzia, femme flic Deuxième partie : la triste hi


    Datte: 02/11/2018, Catégories: Humour, Hardcore,

    ... souriait en relevant la tête, pour ne rien perdre du spectacle du sexe qui la pénétrait ainsi en force. Mon membre avait trouvé en le rectum de ma belle, un autre merveilleux nid. Il était heureux dans ce boyau moulant et chaud qui s’humidifiait au fur et à mesure de ses allers-retours. J’étais aux anges et poussais des petits cris de plaisir à chacune de mes pénétrations. Je regardais avec intérêt comment Faouzia ressentait ce gros zob qui la possédait en force. Le sourire qu’elle avait ne la quitta pas un seul instant. Un sourire qui pouvait signifier qu’elle avait mal, mais qu’elle supportait la douleur pour me donner du plaisir ; ou alors un vrai sourire, signifiant qu’elle prenait autant de plaisir que moi. Je décidais de tenter autre chose en lui prenant sa main droite pour la poser sur sa chatte en lui ordonnant doucement :- Caresse-toi ! Fais entrer tes doigts dans le vagin ! Masturbe-toi pendant que je t’encule.Son sourire s’élargit et devint soudain plus lumineux. Elle posa trois doigts entre ses grandes lèvres et les fit pénétrer doucement, jusqu’à ce qu’ils rencontrent, à travers les parois du vagin et du rectum, mon sexe qui revenait du fond du cul. Au moment de la rencontre, elle poussa un grand cri de surprise et de plaisir. Elle trouvait la chose tellement plaisante, qu’elle se mit à crier de plus en plus fort à chaque rencontre entre ses doigts et mon zob. Elle ne se retenait plus :- C’est magnifique ! Je suis pénétrée par mes deux trous ! Je voudrais que ma ...
    ... bouche aussi soit pleine ! Mets tes doigts dedans, je vais les sucer !Je lui mis deux doigts dans sa bouche ; elle se mit à les sucer, en même temps qu’elle accélérait le mouvement des sa main dans son vagin et que moi, j’intensifiais mes coup de boutoir dans son cul. C’était le paradis ! J’aurais aimé rester comme cela toute l’éternité, à pilonner le cul de ma belle et tirer d’elle des cris de plaisir de plus en plus intenses. Et puis le moment vint où plus rien n’existait pour elle que le plaisir qu’elle prenait. Je la vis entrer petit à petit en elle ; ses yeux se voilèrent ; sa bouche s’ouvrit pour faciliter sa respiration et laisser passer les flots de salive qui s’y échappaient ; ses muscles se tendirent comme les cordes d’un arc ; ses doigts accélérèrent le rythme des allers-retours dans son vagin ; ils tentaient d’att****r mon sexe qui allait et venait dans son cul.Et puis elle arrêta de crier, ouvrit les yeux pour me regarder avec des yeux émerveillés, poussa un long râle et déchargea longuement, avant de relâcher tous ses muscles. Je continuai le pilonnage du cul de ma belle jusqu’au moment ou je sentis arriver l’orgasme qui me fit éjaculer, en une longue bordée, tout ce qui me restait de sperme et que les furieux va-et-vient de mon sexe expulsèrent à l’extérieur. Fourbu, j’arrêtai le pilonnage et retirai le gourdin, maintenant totalement ramolli, et vint m’allonger à côté de Faouzia que je pris dans mes bras pour l’embrasser tendrement et lui dire encore une fois ...