7 juin-14 juin
Datte: 03/11/2018,
Catégories:
fh,
ffh,
jeunes,
alliance,
Collègues / Travail
vacances,
plage,
noculotte,
photofilm,
Masturbation
Oral
69,
fgode,
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
... les genoux, puis les cuisses, allant plus haut à chaque fois, retroussant de plus en plus sa robe. Je glisse ma main entre ses jambes, agrippe le fond de sa culotte et tire. Elle m’aide à lui faire quitter sa place en se soulevant légèrement. Je la fais descendre à ses genoux et lui retire complètement. Il n’y a maintenant plus d’obstacle à mes investigations. J’atteins son intimité. D’un doigt, je décolle ses lèvres. C’est alors que l’on frappe à la porte. Nous nous levons prestement. J’enfouis la culotte dans une poche et vais ouvrir. C’est une livraison d’ouvrages. Je la réceptionne, mets les coups de tampon sur les bordereaux du livreur et le salue. Une fois ce dernier parti, Dominique s’approche de moi et me susurre à l’oreille : — Et si nous reprenions notre conversation où elle a été interrompue. J’adhère totalement à cette suggestion. Je m’assois sur une chaise et l’attire sur mes genoux. Un baiser nous réunit de nouveau. Ma main atteint peu après son intimité. Mes doigts courent le long de son abricot fendu, dégageant son clitoris. Quand patatras, il y a un bruit dans la serrure, puis on frappe à la porte. Dominique a un petit grognement de frustration en se levant. Je vais ouvrir la porte. Ce sont les ouvriers qui viennent enfin réparer les prises de courant qui sont capricieuses depuis presque un mois et la crémone d’une fenêtre. Je leur serre la main, en pensant qu’il est heureux que j’aie pu caresser Dominique de la gauche, mes doigts en sont quelque peu ...
... poisseux. Les hommes de l’art se mettent au travail. Je vais me laver les mains. Quand je passe près de Dominique, je lui rends sa culotte en disant : — Hélas ! Je crains que nous ne puisions reprendre cette fois-ci.— Je le crains aussi, me répond-elle en poussant un soupir. Quand nous partons déjeuner, les ouvriers n’en ont pas fini avec la crémone qui leur pose quelques problèmes. Sur le chemin de la cantine, je dis : — Les ouvriers demandent les clés à la gardienne, pour pouvoir ouvrir s’il n’y a personne. Heureusement que j’ai l’habitude de laisser la clé dans la serrure, sinon ils nous tombaient dessus en pleine… conversation.— C’est parce qu’ils ont essayé d’ouvrir la porte qu’il y a eu un bruit métallique avant les coups sur la porte, je n’avais pas réalisé. On peut dire que l’on a eu chaud. S’ils avaient pu entrer directement, comme nous étions placés, ils auraient eu une vue imprenable sur ce que tu étais en train de faire à mon minou.— Cela aurait fait jaser dans les chaumières. Enfin, le pire a été évité. Quand nous revenons de déjeuner, les ouvriers sont partis. Nous restons sages, car les lecteurs doivent bientôt arriver. La journée finie, après avoir embrassé Dominique, je décide d’aller au gymnase pour un peu d’entraînement à la self-défense. Car comme Dominique la danse, cela fait quelque temps que je l’ai négligée. Avec ma blessure au front, je ne force pas beaucoup, pour éviter de reprendre un coup. En sortant, je vais dîner dans un restaurant avec quelques copains ...