1. 7 juin-14 juin


    Datte: 03/11/2018, Catégories: fh, ffh, jeunes, alliance, Collègues / Travail vacances, plage, noculotte, photofilm, Masturbation Oral 69, fgode, pénétratio, fdanus, fsodo,

    ... de sa mère et de sa sœur. Les cinq autres chambres de répartissent, deux en face de l’escalier, orientées à l’ouest et trois à droite, orientées vers le nord. Anne en profite pour me demander de déposer mes affaires dans une chambre vide pour éviter de faire jaser Andrée. Je vais même jusqu’à défaire le lit pour faire plus vrai. Nous allons ensuite au deuxième étage. Il y a encore deux chambres. Mais surtout il y a le grenier qui est rempli d’un incroyable bric-à-brac. Nous finissons par le sous-sol. Anne me montre l’atelier, particulièrement bien équipé avant de rejoindre le garage. Nous y retrouvons les deux sœurs. La propriété se trouvant un peu en retrait de la mer, c’est en vélo que nous y allons. Comme je ne connais pas Julouville, nous faisons un petit circuit pour que je puisse le découvrir. C’est une station balnéaire plutôt agréable, sans monument marquant. Nous sommes dimanche, il y a du monde, mais la plage de sable fin est vaste. Nous trouvons, assez facilement, de la place pour installer nos affaires, sans être tassés sur nos voisins. Comme ma blessure est bien cicatrisée, je ne résiste pas à l’envie d’aller tout de suite piquer une tête dans la mer, imité par le reste de la troupe. L’eau est délicieusement rafraîchissante. Je ne nage pas comme Mark Siptz, loin s’en faut, mais par contre, j’ai du souffle. Aussi je réussis assez bien à évoluer en apnée. Je plonge à proximité d’Anne et de ses filles qui discutent et me dirige vers elles. Je passe entre leurs ...
    ... jambes en laissant traîner mes mains aux endroits stratégiques. Quand j’émerge, Anne me dit : — Arrête ! Il y a du monde. On peut nous voir.— Pas à proximité. Les gens sont trop loin pour distinguer ce qui se passe sous l’eau. Elle regarde autour d’elle et comme elle semble rassurée, je recommence l’opération. Tous nous rions et gloussons à qui mieux mieux. Je finis par être hors d’haleine. Anne me charrie sur mon souffle de plus en plus court et glose sur ces jeunes qui n’ont pas de résistance, qui ne tiennent pas la distance. Ses filles la relaient. Je décide de faire une dernière plongée. Je passe entre les jambes de Gwendoline et de Dominique en arrivant près d’Anne, j’agrippe son maillot de bikini et le fais un peu descendre. Je lui fauche alors les jambes et profite de son déséquilibre pour le lui retirer complètement. Je m’éloigne rapidement de quelques mètres. Je fais alors de ma prise une petite boule tenue par l’élastique. Après avoir repris pied, Anne met quelques instants à se rendre compte qu’il lui manque quelque chose. Elle se précipite vers moi en disant : — Rend-le moi.— Il faut l’attraper. Plus elle s’approche, plus je me recule. Elle finit par m’attraper. Je jette alors l’objet à Dominique qui n’a pas compris ce qui se passait. En recevant la « balle », elle réalise la situation. Je lui lance : — On va voir si Anne a plus de souffle que moi. On va jouer à la baballe. Je crois qu’elle est motivée pour l’attraper. Anne s’approche de sa fille en tendant la main : — ...
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