1. 7 juin-14 juin


    Datte: 03/11/2018, Catégories: fh, ffh, jeunes, alliance, Collègues / Travail vacances, plage, noculotte, photofilm, Masturbation Oral 69, fgode, pénétratio, fdanus, fsodo,

    ... presque déserte. En allant me chercher des draps à la buanderie, j’ai surpris une camarade la jupe troussée jusqu’au nombril, sans culotte, en train de s’affairer entre les cuisses. Elle n’avait pas eu le temps de rabattre sa jupe à temps, m’ayant entendu trop tard. C’était une fille qui se donnait de grands airs. Elle me regardait de haut, parce qu’elle avait deux ans de plus que moi et que ma famille n’était pas très riche. Elle s’est faite tout miel, me suppliant de ne rien dire. J’ai voulu lui rabaisser son caquet, l’humilier. Aussi ai-je posé mes conditions :— Je ne dis rien si tu continues ce que tu faisais. Elle est devenue encore plus rouge en s’exclamant : — Devant toi !— Tu sais, je suis un peu godiche, j’ai besoin de m’instruire. C’est une bonne occasion. Elle a essayé de discuter. Mais quand elle comprit que je ne transigerais pas, elle a remonté sa jupe. Et là j’ai découvert une chose que je n’avais pas eu le temps de voir avant. Elle ne se contentait pas de se caresser. Elle avait quelque chose enfoncé dans le sexe. Je lui ai dit de faire voir. Elle a sorti l’objet de l’endroit ou il était fiché. C’était un morceau de bois d’une vingtaine de centimètre de long au bout arrondi. Elle m’a expliqué qu’elle avait scié un manche à balai, qu’elle l’avait soigneusement passé au papier de verre et qu’elle s’en servait pour se donner des sensations. Je lui ai ordonné de reprendre ce qu’elle faisait quand je l’avais interrompue. Elle n’a pas hésité. Elle s’est enfoncée ...
    ... son bout de manche à balai dans le con et s’est pistonnée avec ardeur tout en se caressant avec son autre main. Cela me faisait un drôle d’effet de la voir ainsi avec ce morceau de bois qui entrait et sortait de son sexe. De son côté ça devait l’exciter de le faire devant moi, car elle a fini par prendre son pied. — Hé bien ! Il s’en passe de belle dans les pensionnats pour jeunes filles. As-tu gardé le secret, demanda Dominique— J’ai tenu parole. Je n’ai jamais rien dit à personne jusqu’à aujourd’hui.— Que s’est-il passé ensuite ? demandais-je.— Elle est restée pantelante quelques secondes. Quand elle a voulu retirer son godemiché, à l’époque je ne connaissais pas le mot, je l’en ai empêchée en appuyant sur sa main qui le tenait. Je lui ai dit :— Non. Il ne faut pas le laisser traîner. Quelqu’un pourrait le trouver. Laisse-le bien au chaud à l’abri. Personne n’ira le chercher là. Comme je vois qu’elle est sur le point de protester, je dis de mon air le plus autoritaire : — Allez ! C’est la solution la plus sûre. Remets ta culotte. Tout le monde n’y verra que du feu. Elle renonce à discuter et s’exécute. Nous sommes sorties. Personne ne s’est douté de rien, tant elle était naturelle. De temps en temps, quand nous étions hors de vue, je glissais ma main sous sa jupe en lui disant : — Je vérifie si tout est bien en place. Alors je faisais bouger l’objet, l’enfonçais ou le sortais un peu. Plus l’après-midi avançait, plus les contrôles étaient fréquents et prolongés et plus elle ...
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