Compassion
Datte: 05/08/2017,
Catégories:
fh,
inconnu,
hotel,
noculotte,
Oral
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
humour,
occasion,
... m’en coûte pas grand-chose. J’ai le pull remonté jusqu’au cou, et de ses deux mains, Marcel me caresse avec douceur. Mes tétons se réveillent et s’étirent langoureusement. — Y a pas d’mal à s’faire du bien, me dit avec un sourire satisfait mon sinistré, plus doué pour le tripotage que pour la sémantique. Mais c’est vrai que pour le pelotage, c’est un artiste. Je commence à trouver la séance agréable. Et ces doigts ! Ils suivent avec douceur le dessin de mes aréoles, en griffent tendrement le point culminant avant de le pincer sans douleur, et recommencent le parcours sur mes deux seins simultanément. Il doit être ambidextre. Mais que c’est bon ! Je retire complètement mon chandail afin d’optimiser mon soutien psychologique. Marcel se penche sur ma poitrine et poursuit avec sa bouche ce que ses mains avaient commencé. Je sens sur ma peau une langue tiède et experte. Je commence à être sérieusement excitée et devine une moiteur révélatrice envahir mes jardins secrets. Dont un au moins ne l’est plus. En effet, Marcel a relevé mon bras pour butiner le fin duvet qui niche dans le creux de l’aisselle et que je ne juge pas utile d’épiler, compte tenu de sa rareté. C’est doux, cela me chatouille un peu, mais j’aime. Avec sa langue, il lèche les quelques gouttelettes de sueur déposées par mon trouble. Puis il revient à mes seins, les entoure, les cerne et en prend le téton entre ses dents. C’est merveilleux. Je ronronne comme la chatte de Jo. Si elle me voyait celle-là, elle n’en ...
... reviendrait pas. Déjà qu’elle me trouve très « audacieuse » avec les clients de l’hôtel, alors ici ! La porte qui s’ouvre me rappelle que le « ici » est également un hôtel, bien qu’affecté provisoirement à un autre usage. Puis elle se referme et Marcel, qui n’en a eu cure, peut poursuivre tranquillement ses investigations. Car nous en sommes là. Cet expert en manutention s’attaque à la boucle de mon ceinturon. J’ai parfois quelques difficultés à le fermer, mais Marcel n’en a aucune à l’ouvrir. Le zip n’est qu’une affaire de secondes et, comme je n’ai pas de culotte, mon pubis, tout aussi blond et clairsemé que le reste apparaît dans l’échancrure du denim. Après un moment de contemplation satisfaisant pour mon ego, mon paladin fait subir à mon minou le même supplice qu’à mes doudounes… mais avec encore plus de talent. La douce langue m’enveloppe, décrit des arabesques savantes avec de petites pauses exaspérantes. Des lèvres me pincent, me titillent, me séparent. Je me cambre, autant pour m’offrir mieux que pour me permettre de m’extraire d’un jean qui est un frein désastreux à ma mission salvatrice. Mission à laquelle je m’abandonne maintenant corps et âme. Surtout corps. Mon brave sinistré s’est emparé de ma cuisse qu’il relève en même temps qu’il l’écarte. J’ai la foufoune offerte, ouverte. Marcel est un esthète. Il contemple silencieusement ce tableau un long moment et soudain plonge. J’ai sa langue entre les cuisses. Elle est dure, pointue, pénétrante et victorieuse. Je ...