1. Fatalisme : M.A.K my life… ou presque XVII


    Datte: 04/11/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... dure. Des gémissements. Bruits de chaise. Les gémissements montent en intensité. Impossible d’ignorer ce qui se passe. Je rougis. On entend parfaitement les raclements de la chaise sur le sol et les jappements de ma femme. Puis un long feulement. - Putain ! Il est en train de la démonter. - La vache… - Elle a l’air d’aimer la queue ta pute mec… - Et tu laisses faire ? - C’est vrai que le Kemb, il vous éclate aussi la rondelle ? - Putain ! Il en du pot ! J’aimerais moi aussi un couple comme vous. Une fiotte comme toi marié à une méga salope. - Pourquoi tu dis rien mec ? C’est vrai, il a raison le jeune black. Pourquoi je ne dis rien ? Comment je peux accepter tout cela ? Une semaine loin de chez moi m’a descillé les yeux. La porte de la cuisine s’ouvre. Un Kemb conquérant suit ma femme. Et elle ! Sublime dans une robe noire au décolleté provocant, les cheveux légèrement décoiffés, les yeux brillants. Ses mains à plat sur ses hanches font un geste vers le bas comme pour redescendre sa robe. Elle marchait devant son amant, sûre d’elle et sans aucune gêne vis-à-vis de moi. Margot s’est approchée de moi. Peut-on une seul imaginer cette scène ? Imaginer mon état-d’esprit ? Ce que je ressens ? A voir ma femme devant son amant dévorée des yeux par les deux invités. Dans notre salon et devant son mari. Nous savons tous qu’elle est nue sous sa robe. Pas besoin d’être devin pour comprendre que son amant vient de la baiser. Elle est venue vers moi. Kemb dans son dos à brandit dans sa ...
    ... main un bout de tissu arachnéen et nul ne pouvait ignorer que c’était le slip de ma femme. Même si elle me regardait avec beaucoup de tendresse, j’ai su à ce moment précis que je n’avais plus ma place. Face à moi, elle ne pouvait pas voir que Kemb, bras levé, faisait tournoyer le slip au-dessus de sa tête. Comme un trophée. Elle s’est collée à moi et m’a donné un léger baiser sur les lèvres. - Bonsoir Didou… Excuse… Je ne savais pas qu’ils étaient déjà là. Je voulais te le dire au téléphone. Te prévenir que… Je l’ai interrompu. Je tremblais. Mal à en crever de découvrir que c’était fini. - Non Chérie… J’avais des larmes aux yeux. - Non Chérie…. Je vous laisse… Elle m’a regardé sans comprendre et Kemb a stoppé son geste puéril. - Pourquoi tu dis ça Didou ? … Pourquoi… Je compr… - Parce que c’est fini Margot… Fini… Elle s’est reculée pour se coller contre son amant qui dans un geste protecteur à mis ses grosses mains noires sur les épaules de ma femme. - Qu’est ce qui est fini Chéri ? … Quoi ?.. Je comprends pas… Je marchais lentement pour quitter le salon. Je ne voulais pas partir. Et pourtant je savais que c’était inéluctable. - Non reste Didou ! Reste mon Chéri C’était un cri de désespoir. Un couteau planté dans mon dos. J’ai encore eu la force de lui répondre. - J’ai pas envie de voir ma femme se faire démonter par trois gamins. - Elle aime ça ta femme et on n’est pas des gamins. - Ta gueule Mouss ! Laisse-le partir Margot, il reviendra…. Il te reviendra la queue entre les ...
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