-
Puis-je encore m'appeler France ?
Datte: 04/11/2018, Catégories: fh, inconnu, bateau, Masturbation Oral pénétratio, conte,
... bourses bien pleines tant son excitation est palpable. Il relève Hélène, lui prend la main et se dirige vers la chambre spacieuse et l’allonge sur le lit jambes écartées pour la prendre sans ménagement tant son excitation est à son comble. De ses longues mains, il lui enserre le bassin et s’enfonce en elle jusqu’à la garde. Hélène pousse un cri car le membre de Lorenzo est plus épais et plus long que le membre d’Éric et elle n’a pas l’habitude de tomber sur un homme aussi bien membré. Sentant une contraction au même moment, Lorenzo ressort un peu pour ne pas blesser Hélène mais lui donner du plaisir. Dans un va-et-vient de douceur, au fur et à mesure qu’il l’investit, elle sent son plaisir venir, son souffle s’accélère au rythme du sien, elle commence à gémir sous les coups de boutoir qui ont remplacé le rythme lent du début. C’est maintenant un piston de chair qui la laboure jusqu’au plus profond d’elle-même. Soudain n’y tenant plus, elle se retourne lui offrant ses fesses en lui disant tout ce qui lui passe par la tête. Cette femme très réservée dans la vie se transforme en chienne en chaleur. Elle est hyper excitée et lui dit : — Baise-moi, fais ce que tu veux de moi ! Obéissant à ses désirs, il s’approche de ses fesses rebondies qu’elle tient écartées à deux mains, offrant la vision de sa toison où il peut admirer son puits d’amour largement lubrifié par son désir ainsi que son anus qu’il espère accueillant. Cette femme de classe n’est plus qu’un immense sexe avec trois ...
... orifices à sublimer. Elle sent son membre bandant à l’entrée de son anus qu’elle détend le plus possible car d’un coup d’un seul, il la sodomise en la gratifiant de violents coups de reins. Ces coups sont tellement violents que ses bourses gonflées frappent son périnée à chaque va-et-vient. Ses magnifiques seins bougent d’avant en arrière. De son bras droit, il enserre sa taille fine tandis que sa main gauche, il lui malaxe la poitrine. Les reins de sa femelle se creusent de plus en plus. Il adore au-delà de toute espérance ses seins volumineux. Il sent qu’il ne tiendra pas longtemps. Elle le sent gémir et renforcer son étreinte. Elle est bloquée contre lui et elle sait que même si elle voulait s’échapper, elle ne pourrait pas. Alors elle fait ce que la nature a programmé dans ses gènes depuis des années, elle s’ouvre le plus possible pour accueillir dans son antre le flot de sperme qui l’envahit. Après ces réjouissances peu courantes pour une première fois, la respiration de Lorenzo se calme, il se retire un peu étourdi par l’effort qu’il vient de produire tant son excitation était forte. Est-ce le fait d’une rencontre non préméditée ou l’abstinence de plusieurs semaines car trop absorbé pas ses activités, il n’en sait rien et en fait ne cherche pas à le savoir. Il est bien c’est l’essentiel et s’allonge sur le dos. Hélène en fait de même pour reprendre ses esprits et lui caresse le torse en lui disant des mots doux. Ils sont là, calmes, les sens apaisés. Repus tous les deux ...