1. Mon fils, mon amour


    Datte: 05/08/2017, Catégories: Mature, Première fois

    ... petit déjeuner, ma fille me trouva triste mine et s'inquiéta de ma santé.- Tout va bien ma fille, tout va bien! J'ai seulement passé une mauvaise nuit.Bien entendu je ne lui ai pas donné les raisons. Durant 3 jours je cherchais la solution pour résoudre ce problème et la seule qui me venait à l'esprit, toujours la même, je devais lui rendre visite pendant ses séances de masturbation et le résonner. Un après-midi je me décidais enfin. J'entrais dans sa chambre. Comme la dernière fois il avait empoigné sa queue et il se branlait. Sans lui laisser le temps de réagir, je m'approchais du lit.- Hervé! Il faut qu'on parle dis-je d'une voix assurée.Mon fils me regarda et ne parut pas surpris, au contraire, il se branla de plus belle.- Arrêtes hurlai-je en posant ma main sur la sienne pour stopper sa masturbation mais, au lieu d'obtempérer, d'un mouvement vif, il ôta sa main pour que la mienne vienne en contact avec sa bite et replaça la sienne sur la mienne et, la maintenant fermement, il reprit sa masturbation. La manouvre avait été si rapide que je le laissais faire. Dans ma tête tout se bousculait: devais-je me fâcher? Non il était trop tard. Ma main avait trouvé le rythme et je me surpris à aimer ce que j'étais en train de faire. Tenir ce sexe dur et chaud entre mes doigts me procurait d'incroyables sensations tant par sa taille que par la vision de son gland lisse et humide.- Oui maman, continue, c'est bon.J'ai obéi et l'ai masturbé jusqu'à éjaculation puis je me suis enfermée ...
    ... dans la salle de bain pour nettoyer ma main pleine de sperme. Je n'osais pas me regarder dans le miroir de peur d'y voir une femme indigne, une mère dépravée. De plus je ne savais plus quoi faire, impossible de revenir en arrière. Pendant le repas du soir personne ne parlait, l'atmosphère était lourde même les plaisanteries émise par Arielle n'arrivaient pas à la détendre.Le lendemain matin, vers 10h je me trouvais seule dans la cuisine et Hervé apparut les cheveux ébouriffés, mais surtout avec une forte érection qui déformait son bas de pyjama et qu'il arborait fièrement.- Maman, dit-il, tu veux? Comme hier?Sur de mon consentement, il abaissa son pantalon de pyjama. Sa queue apparut dans toute sa splendeur.- Non Hervé, non! Hier c'était un accident, il ne faudra plus que cela se reproduise.- Maman, s'il te plait, encore une fois, c'était si bon.Sa bite m'hypnotisait? Je sentis toute ma détermination s'envoler. Mon fils était maintenant à 20 cm de moi.Je n'ai pu résister davantage et ma main enserra son chibre. Ô cette queue, je sentais que je ne pourrais plus m'en passer. Au fond, s'il avait eu une maladie je l'aurais soigné et ses pulsions sexuels en étaient une pourquoi ne devrais-je pas le soulager. Lorsque je le sentis sur le point d'éjaculer, j'arrivais à saisir le rouleau d'essuie-tout pour recueillir son sperme avant qu'il n'éclabousse partout, me rappelant l'énorme quantité et surtout avec quelle force il l'avait émis hier.A partir de ce moment une ou deux fois par ...
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