1. MAMAN CHAPERONNE SA FILLE POUR UN RENDEZ-VOUS GALANT


    Datte: 04/11/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... dossier pour constater l'avancement des travaux entre Marc et moi. André dégrafa un peu plus le chemisier de maman pour avoir une meilleure prise sur ses seins. J'ai demandé: "Termine ton histoire, maman, pourquoi ton dîner avec le voisin s'est terminée en partie de jambes en l'air?" "Moi, je voulais juste dîner, discuter, puis qu'il me ramène chez moi. Il était charmant mais très macho. Tout de suite, il s'est à parler de sexe. Il n'a pas eu beaucoup de difficultés à me chauffer. Ensuite, il a caressé ma chatte sous la table. Alors, je lui ai suggéré de venir terminer la soirée ici!" Penchée au-dessus du dossier, maman m'a dit: "Chérie, tu ne peux plus laisser ce garçon dans cet état sans faire quelque chose pour lui!" "Je ne peux pas faire ça à Joffrey, maman." "Arrête de te préoccuper de Joffrey, il n'en saura rien!" "Si personne ne lui dit, et c'est pas moi qui lui raconterait, il ne se rendra compte de rien. Les hommes sont comme ça. Ton père m'a baisée une fois alors que mon amant venait de tourner les talons et que ma chatte était inondée de sperme. Une autre fois, un type m'a baisée dans mon lit avec mon mari qui ronflait à côté de moi. Le plus difficile, c'était de rester discrète parce que cette situation m'excitait trop!" Elle m'expliquait tout cela avec un sourire diabolique. J’ai remarqué que je branlais Marc plus fort. La perversité de maman m'excitait. Maman s'en est aperçu: "Est-ce que tu as senti la pression de sa main s'accentuer sur ton manche, Marc? Je ...
    ... suis sûre qu'elle est tellement excitée qu'elle va bientôt prendre en bouche ton truc charnu." Elle parlait à Marc comme si je n'étais pas là. "J'espère que tu as raison Magalie, sinon je te rejoindrai à l'arrière pour que tu puisses prendre soin de moi." Je n'en pouvais plus. La situation, les récits de maman, les doigts de Marc, j'étais trop excitée, je devais le sucer. J'approchais ma bouche de la bite dressée de Marc que j'astiquais depuis un moment. Marc et maman retenaient leur souffle. J'ai cessé de le branler, j'ai tiré la langue pour lécher le gland. Délicieux. J'ai tout de suite eu envie d'en goûter davantage. Je me suis enfoncé ce gros chibre aussi profondément que je pouvais dans la gorge, jusqu'à avoir une sensation de suffocation. J'ai commencé à prendre un bon rythme avec sa bite entrant et sortant de ma bouche, et ma main qui s'entortillait autour de la base de sa bite et de ses bourses. En prenant conscience que je suçais un autre homme que mon mari, je me suis aperçue que cela m'excitait. Très loin au-dessus de moi, j'ai entendu la voix de maman dire à Marc: "Tu vois, il ne fallait pas désespérer. Elle y est arrivée. C'est la digne fille de sa mère, bon sang ne saurait mentir!" Marc gémit: "C'est vrai, Magalie. Elle suce bien!" Maman m'observait et même si je me sentais un peu gênée, je voulais l'impressionner. J'essayais de gober entièrement cette belle queue, mais la grosseur du gland m'empêchait de le faire pénétrer dans ma gorge, malgré tous mes efforts. ...
«12...111213...»